Quelque 45,6 millions de numéros de cartes de crédit ou de débit ont été volés par des pirates informatiques dans les bases de données du groupe de distribution TJX, ce qui constitue selon les experts le plus gros vol de données jamais commis.
Outre les numéros de cartes, les données personnelles (nom, adresse, numéros de sécurité sociale...) d'environ 455.000 clients de TJX ont également été volées, a précisé le groupe, qui s'est aperçu des piratages à partir du 18 décembre.
Les données volées par les pirates informatiques, un phénomène de plus en plus fréquent, se revendent pour quelques dollars sur un marché illégal.
Le piratage des serveurs de TJX, basés à Framingham (nord-est), ont eu lieu entre juillet 2005 et décembre 2006, et portent sur des achats réalisés dans les magasins du groupe en 2003 et 2004, a précisé TJX dans un avis mercredi soir au régulateur boursier, la SEC.
TJX précise cependant que plus des deux tiers des cartes dont les numéros ont été volés étaient expirées ou comprenaient des données masquées sous forme d'astérisques au lieu de chiffres. Il a aussi souligné que les codes secrets
(PIN) des cartes n'avaient pas été touchés.
En revanche, TJX a reconnu que son constat était incomplet, car il n'était pas en mesure de déterminer exactement quelles informations avaient été volées, et estime même que "le pirate avait accès à l'outil de décryptage de TJX".
Le groupe TJX possède des enseignes de textiles et d'équipements de la maison aux Etats-Unis, au Canada et à Porto Rico, ainsi qu'en Grande-Bretagne, notamment T.J. Maxx, Marshall et HomeGoods.
Avivah Litan, vice-président du cabinet d'analyse Gartner, a déclaré au journal Boston Globe qu'il s'agissait du "plus grand vol de cartes jamais commis".
Jusque là, le plus important vol de données était survenu en 2005 quand 40 millions de numéros de cartes de crédits avaient été volés dans les serveurs de la société de paiement CardSystems Solutions Inc.
Lorsque TJX avait pour la première fois révélé l'existence de piratage, en janvier, Gartner avait appelé les banques américaines à renforcer la sécurité de leurs cartes de crédit en les dotant systématiquement de puces avec code PIN, à l'instar de la norme Europay MasterCard Visa (EMV).
Selon la presse américaine, la police a arrêté la semaine dernière six personnes en Floride pour avoir utilisé des numéros de cartes de crédits volées dans les bases de données de TJX, afin d'acheter pour 1 million de dollars de marchandises.
De tels vols de données se sont multipliés ces derniers mois. Selon la société de sécurité informatique Symantec, les vols de données ont augmenté sur internet en 2006, notamment les vols de numéros de cartes de crédit et de code de sécurité, qui se revendent sur des serveurs informatiques "underground".
Symantec a recensé au 2e semestre plus de 6 millions d'ordinateurs infectés par un programme de piratage automatique, que les criminels informatiques utilisent, à l'insu de leur propriétaire, pour mener des attaques à grand échelle contre des serveurs informatiques afin de pirater leurs fichiers.
Le nombre d'ordinateurs ainsi utilisé est en hausse de 29% par rapport au 2e semestre 2005, a précisé Symantec, dans un rapport la semaine dernière.
La société de sécurité informatique a aussi retracé les "serveurs underground" où les pirates et les organisations criminelles s'échangent les données volées.
Sur ces plate-formes, un numéro de carte de crédit américaine avec numéro de vérification peut s'acheter pour 1 à 6 dollars, tandis que les données personnelles (numéro de compte bancaire, de carte de crédit, date de naissance et numéro de sécurité sociale) se négocie entre 14 et 18 dollars, selon Symantec.
Au 2e semestre 2006, a précisé Symantec, 51% de ces "serveurs underground"
se trouvaient aux Etats-Unis.


Le marché informel des téléphones cellulaires, lire portables, a pris une telle ampleur que les chiffres de la contrebande s'affolent en absence de statistiques officielles.

Le fléau a touché tout le pays et plus sensiblement les grandes villes du territoire national, affectant par là, la bonne régulation d'un marché aux contours jugés encore flous. Quelques chiffres jalonnent, pourtant, le parcours du portable parallèle puisqu'on avance le chiffre de quelques 300 mille appareils introduits frauduleusement au pays, en 2004, et dispatchés aux quatre coins de la carte géographique. Le 5 mai 2005, près de 600 unités sont saisies dans le train assurant la navette entre Oran et Alger et l'on n'hésite plus, depuis longtemps au fait, de parler de véritables plaques tournantes du trafic des cellulaires et aussi de réseaux bien huilés dans la distribution du produit. Alger, en premier lieu, Oran, Tlemcen sont désignées d'un doigt accusateur comme faisant partie de l'axe de contrebande. D'autres chiffres, plus éloquents, renseignent sur l'ampleur du trafic puisqu'en 2006, la direction du contentieux de la direction générale des douanes fait état de la saisie de 7 682 téléphones portables introduits frauduleusement en Algérie. 4 637 à Tlemcen d'une valeur marchande estimée à 13, 68 millions de dinars, 1 507 à Oran pour 3,15 millions de dinars, 225 à Alger extérieur (aéroport) estimés à 1,13 million de dinars et 779 à Alger- Port pour 2,95 millions de dinars. La valeur marchande de ces saisies effectuées au niveau des différentes directions régionales des douanes s'élève à plus de 22,8 millions de dinars. A cela s'ajoutent les saisies des accessoires de portables qui se chiffrent à plus de 47,9 millions de centimes. Soit un total de plus de 2,32 milliards de centimes. Pour l'année 2005 ce sont 10 255 téléphones mobiles qui ont été saisis par les Douanes algériennes dont 7 018 à Tlemcen et 1 542 à Oran pour une valeur estimée à près de 36 millions de dinars. Aux premiers abords, on enregistre une baisse quantitative dans les saisies mais la réalité du terrain possède ses propres lectures du phénomène et le marché informel a développé un tel sens de régénérescence capable de lui procurer une plus grande capacité de nuisance.

La porte d'accès des trafiquants du cellulaire pour l'ouest se fait invariablement à partir de la bande frontalière avec le Maroc et le fameux marché de Zouia reste fortement suspecté de s'être recyclé dans la contrebande du portable après avoir été, des années durant, le réceptacle de tous les bouts de tissus fourgués par le voisin Chérifien. Le marché est également approvisionné par le vol de portables qui a atteint des proportions alarmantes défiant toute logique sécuritaire. Ainsi pas moins de 1.881 affaires ont été comptabilisées et traitées par les services de la sûreté de la wilaya d'Oran au cours de l'année dernière, fruits de vols à la sauvette ou après agression, perpétrés dans plusieurs quartiers d'Oran. Quelque 333 portables ont été récupérés sur les 1.433 volés alors que 982 personnes ont été arrêtées au cours de ces opérations policières. Ces appareils volés intègrent le circuit des marchés et se retrouvent sur les différentes placettes dédiées au portable. Toujours au rayon des chiffres, 21 téléphones portables ont été récupérés par les services de police à Oran après une recrudescence enregistrée dans le vol des téléphones avec 111 affaires pour le seul mois de février.

Le lieu de rendez-vous des «amateurs» du téléphone portable. A la place Aïssat Idir, coupant la rue Benzerdjeb en deux et plus précisément à hauteur du café Nadjah, une foule bigarrée se bouscule dans un désordre savant. L'emplacement est réputé pour servir de véritable baromètre du marché informel local. Et il y a de quoi, si l'on se réfère à l'affluence qu'il enregistre chaque jour de la semaine. Pourtant, peu de gens peuvent se targuer de connaître les origines exactes de ce marché, devenu, à force, incontournable dans le paysage des échanges «commerciaux» entre particuliers. L'espace, longtemps honni par les riverains, n'en finit plus de susciter la colère de son entourage. Débordant ostensiblement et dangereusement sur le bitume et gênant et la circulation piétonnière et automobile, ce marché, casanier par définition, s'est déplacé de quelques mètres seulement suite aux différentes plaintes, descentes, rafles et autres saisies. Ici, tout se vend du moment que les billets de banque suivent. Les téléphones et leurs accessoires allant de la simple batterie de recharge au kit main libre, carcasses et étuis. Les marques les plus prestigieuses et le bas de gamme importé du proche Maroc se côtoient sans autre forme de procès et les Nokia, Samsung, Motorola et Siemens, changent de mains après les palabres et marchandages d'usage. Les prix varient selon la qualité du produit mais aussi à la tête du client. Si ce dernier, novice dans le domaine ne se fait pas chaperonner par plus expert il se fait arnaquer à tous les coups. Les exemples sont nombreux même si ce n'est pas la règle d'or des transactions. De 2000 à 8500 dinars pour la plupart des produits alors qu'une autre gamme avoisine les plafonds. Dans ce microcosme, un oeil exercé peut distinguer trois sortes de revendeurs. Si la plupart d'entre eux, généralement des barbus qui «apostasient» l'argent du système, en font presque un métier «shab el caba», il existe l'occasionnel, celui qui dans le besoin s'improvise revendeur et un téléphone à la main et l'embarras sur ses traits, il attend le futur client. La dernière espèce des revendeurs qui écument la place est celle des voleurs de portable qui essayent de se mêler aux autres pour passer inaperçus. On les reconnaît facilement à l'allure suspecte qu'ils affichent et à leurs manières de marchander, histoire de se débarrasser le plus rapidement possible et à n'importe quel prix de la pièce à conviction qu'il trimbale. «C'est à cause de ces gens là qu'on se fait emm...par les flics», regrettera un «commerçant» représentant la première catégorie. Le marché est exclusivement masculin et les victimes de vols à l'arraché ou violentées n'hésitent pas à inspecter les visages à la recherche d'un suspect ou tout simplement en quête de reprendre leurs biens. Et il n'est pas rare que les passants assistent à de véritables chasses à l'homme, les couteaux et les sabres traditionnels bien en vue. «De toute façon, tous ceux que tu vois là sont armés» me dira Kader, un employé de bureau à proximité des lieux.


La société japonaise de systèmes d'impression, de cartes à puce et de services Dai Nippon Printing a annoncé jeudi avoir développé des écrans organiques électroluminescents à longue durée de vie, destinés à devenir des affiches publicitaires dynamiques et des TV ensuite.
"Les écrans à affichage organique électroluminescent (OLED) que nous avons conçus avec un institut de recherches techniques, RIOE, ont une durée de vie dix fois supérieure à celle des actuels petits écrans de ce type", a assuré Dai Nippon Printing (DNP) dans un communiqué.
Leur durée réelle obtenue dépasse les 100.000 heures, contre 10.000 pour les actuels OLED, a précisé DNP.
Le groupe espère proposer dès 2008 des prototypes d'affiches OLED opérationnelles à adosser à un système de gestion pour présenter séquentiellement des informations et publicités dans les trains ou boutiques.
DNP vise ensuite un chiffre d'affaires de 10 milliards de yens (6,5 millions d'euros) avec cette activité en 2010.
Ultérieurement, le groupe espère pouvoir créer des larges dalles destinées à être montées sur des nouveaux types de téléviseurs à écran plat, encore moins épais que les modèles à cristaux liquides (LCD) ou plasma, et également moins lourds et moins gourmands en énergie.
L'OLED est un affichage auto-lumineux considéré comme une des sources d'affichage haute-définition de prochaine génération les plus performantes et sur laquelle travaillent notamment Sony et Samsung.
Ce type d'écran ne nécessite pas de dispositif de rétroéclairage, la lumière naissant de la circulation d'un courant électrique à travers un matériau luminescent organique. D'où une moindre épaisseur et une faible consommation électrique.
L'OLED, apparu commercialement à la fin des années 1990, n'a été pour le moment employé que pour quelques rares modèles de petits appareils (téléphones mobiles, baladeurs ou autoradios) du fait justement d'une durée de vie insuffisante pour d'autres applications.

Belkin cherche encore à innover dans le monde du hub USB. Après avoir dévoilé ses hubs qui peuvent s'empiler et son hub multimédia Hubby, la marque nous propose cette fois-ci une série de hubs étudiés spécialement pour les bureaux.


Il est attendu 200 000 visiteurs au cours de cette exhibition de nouveaux modèles de constructeurs, notamment de Hyundai, Peugeot et Volkswagen.

    <br />
        Le Palais des  expositions    des Pins- Maritimes sera l’ attraction   du public  durant une dizaine de jours à l’  occasion  du 11e  Salon      international       de l’automobile d’ Alger. Les  portes   de cette structure seront ouvertes dès aujourd’hui jusqu’au 6  avril   prochain. Les visiteurs seront attirés beaucoup plus  par  ce que recevra le palais comme     stands d’ exposition,  nouveautés    et autres avancées technologiques dans le monde de la  voiture . Les statistiques émanant de la Société   algérienne des    foires et expositions  (Safex) qui indiquent que plus de 200 000 personnes   visitent chaque année le salon confirment l’attrait. Environ 56 exposants dont les constructeurs de renommée  mondial  seront présents sur une superficie estimée à près de 24 300 m2.    
    <br />
         À l’exception de Renault qui a choisi une autre  formule pour  rencontrer  sa clientèle    . Sinon, tous les habitués seront de la partie  . À l’image  de Peugeot qui se réinstallera sur le même   stand . Cet    espace , estimé à 1 400 m2, est édifié selon les normes de la marque  au lion. L’important    événement   qu’attend Peugeot Algérie , le mois  de mars  de chaque année , sera, cette fois-ci, rehaussé par la      présence du   directeur  des affaires     internationales   de Peugeot, en l’occurrence M. Bernd Schantz. Il a tenu à assister à cette manifestation et exprimer par la même l’intérêt  que porte le   constructeur  au marché algérien. Presque toute la gamme du    concessionnaire    au nombre  de 23 modèles  sera étalée sur le stand aux    couleurs  et lumières  propres à la marque. La 207 CC (   coupé cabriolet    ) et l’Expert Tepee seront les vedettes de cette  édition pour le  français. L’ entreprise   que dirige M. Pascal  Morel prévoit des   remises durant la durée du salon.    
    <br />
       Le stand qu’a réservé  , pour sa part, Hyundai  Motor    Algérie (HMA) est, selon les responsables de cette  entreprise et les observateurs, 10 fois plus  beau  que celui de la précédente édition. Les dirigeants sont apparemment satisfaits du     travail  accompli     à 100% par la société  algérienne Sonex qui a réussi à  monter   un stand new- look, répondant aux standards de la marque sud-  coréenne    . Sur un millier de m2, les principaux modèles seront exposés avec en guise de nouveautés le  Tucson 4X2 en  diesel  CRDI fixé  à 1,798 million de DA et l’   essence   1,588 million de DA. Le  camion HD 45 1,8 tonnes.    
    <br />

    <br />
     Des remises intéressantes 
    <br />
     Les promotions   de HMA concernent en plus des cadeaux , des rabais qui vont de 20 000 DA à 500 000 DA en fonction des types de   véhicules     . De son  côté, Sovac, la société qui représente  trois  marques  , Volkswagen ( VW),   Audi et Seat   promet beaucoup de surprises pour les visiteurs. L’on se souvient de celle qui a émerveillé certains observateurs et étonné d’autres, à  savoir  les mannequins ramenés en tant que hôtesses des pays   de l’Est pour embellir davantage les trois  stands.      
    <br />
     Pour cette édition, Sovac a programmé , selon son P-DG,  
    <br />
         M. Mourad Oulmi, des nouveautés telles que les nouveaux  Touareg et le  nouveau     VW, la R8 d’ Audi et l’ Altea  XL et Lionne Cupra  pour Seat.    Nissan a loué, quant à lui, 1 500 m2 à l’  intérieur   du pavillon  où il a exposé 17 véhicules . Cette année, il a ajouté près de 400 m2 à l’   extérieur pour étaler ses   véhicules utilitaires      et la Sunny  GPL . Les remises dédiées par le concessionnaire    japonais   à ce salon démarrent de 50 000 DA à 100 000 DA. Le prix  de la voiture Tiida, par exemple, sera revu à la   baisse  de 100 000 DA. Ford a devancé ses concurrents en inaugurant hier son stand d’une surface de 750 m2. C’est la    reproduction   de celui monté au salon de Genève. Il proposera à ses visiteurs les nouveaux  Transit    et S-max. Pendant le salon, le concessionnaire  offre une  remise qui peut atteindre 100 000 DA et un    chèque cadeau à utiliser pour le  service après-vente  pour des achats groupés.   
    <br />
      Le représentant de Fiat, Ival, a acquis 900 m2 du palais pour ce salon, une superficie sur laquelle il présentera 12 modèles qui connaîtront des remises allant de 10 000 DA à 40 000 DA. Par ailleurs, les  concessionnaires   s’accordent à dire que le marché a connu une nette progression estimée à environ 30% durant le  premier trimestre de 2007.


Le groupe informatique américain Microsoft a vendu 20 millions d'exemplaires grand public de son nouveau système d'exploitation Vista durant le mois de février, premier mois de vente du logiciel lancé le 30 janvier pour les particuliers.
Cette performance est plus que doublée par rapport au démarrage du système d'exploitation précédent, Windows XP, qui s'était vendu à 17 millions d'exemplaires lors de ses deux premiers mois de vente fin 2001, a souligné Microsoft.
"Nous sommes encouragés de voir une réponse si positive des consommateurs", s'est félicité Bill Veghte, vice-président de la division Windows Business Group de Microsoft.
A noter cependant que depuis le lancement de Windows XP les ventes annuelles de PC ont quasiment doublé, passant de quelque 50 millions en 2002 à près de 100 millions attendus pour 2007, soulignaient les analystes mardi.
Microsoft n'a pas détaillé les ventes entre les nouveaux PC pré-équipés de Vista et les ventes de logiciels seuls, et souligné qu'une grande partie des consommateurs choisissent les versions haut de gamme de Vista (Premium), nettement plus chères, mais sans donner de pourcentage des ventes.
"Depuis le lancement de Vista, les clients de Dell ont largement choisi des versions premium", a indiqué Neil Hand, vice-président de la division grand public de Dell, cité par le communiqué.
Les systèmes d'exploitation de Microsoft font tourner plus de 95% des PC mondiaux.


Avec un bond de 29% de ses livraisons au quatrième trimestre, HP a pris largement la tête du marché des ordinateurs portables. HP renouvelle sur le marché des ordinateurs portables ce qu'il avait réalisé sur les PC en général… Au quatrième trimestre, le fabricant s'est largement détaché de son concurrent et candidat à la première place Dell, selon Display Search.
Un ordinateur portable sur cinq livrés fin 2006 était un HP, une progression de 29% ayant porté à 4,7 millions le nombre d'unités vendues, tandis qu'avec 3,5 millions et une quasi-stagnation de la progression à 2%, Dell n'a fait que confirmer sa position de numéro 2 avec une part de marché de 15%.
Mais cette deuxième place pourrait bien échapper à Dell car le troisième, Acer, progresse lui aussi très rapidement : +29% sur le trimestre, avec 3,1 millions de portables livrés et une part de marché de 13,3%. Suivent Toshiba, avec 2,3 millions d'ordinateurs livrés, en progression de 5% et une part de marché de 9,8% et Lenovo (ex-IBM) : 2,0 millions d'ordinateurs livrés, en progression de 18% et une part de marché de 8,4 %. Ensuite se range un groupe compact de quatre fabricants, Fujitsu-Siemens, avec 1,2 million d'ordinateurs livrés, en progression de 7% et une part de marché de 5,3% ; Sony, avec 1,2 million d'ordinateurs livrés, en progression de 40% et une part de marché de 5,0% ; Asus, avec 1,0 million d'ordinateurs livrés, en progression de 49% et une part de marché de 4,4% ; et Apple, avec 1,0 million d'ordinateurs livrés, en progression de 7% et une part de marché de 4,1%. Le marché des ordinateurs portables a progressé séquentiellement de 14,4% au quatrième trimestre 2006.

    <br />

Non seulement ses résultats de premier trimestre, mais les performances de l’ensemble de l’exercice en cours devraient être « significativement inférieurs » aux prévisions, a prévenu Motorola en milieu de semaine...

Les investisseurs en prennent acte et une majorité d’entre eux estiment désormais que le redressement du fabricant s’étalera sur une période plus longue qu’annoncée. Le titre du groupe perdait 5% à Wall Street hier soir.

L’activité de téléphonie mobile, qui représente les deux tiers du chiffre d’affaires du groupe, s’avère particulièrement problématique car plombée par la guerre des prix. Un portefeuille produit jugé « limité » dans la 3G et des ventes inférieures aux attentes viennent enfoncer le clou.

Cette activité devrait néanmoins connaître un « redressement graduel » au cours du second semestre. Mais les analystes restent circonspects, comme Citrigroup, qui note que les concurrents de Motorola « profitent de sa situation de faiblesse pour l’attaquer de toutes parts : Nokia dans les pays émergents et Samsung dans les marchés plus matures ».

Crédit Suisse estime la baisse de la part de marché de Motorola à 4,5 points (17,8%). Le groupe n’a donc plus d’autre choix que de tabler sur un retour à la rentabilité, ce qui implique de proposer des modèles plus chers.

Mais là encore, il semble manquer une flèche à son arc sur le haut de gamme. « Motorola a fortement insisté sur le design, notamment sur l’ultrafin, mais pas assez sur la technologie, alors que les deux sont essentiels pour s’imposer », relève-t-on chez Gartner.

Nokia et Siemens ont annoncé mardi le lancement de « Nokia Siemens Networks », pour le 1er avril 2007, a indiqué un communiqué reçu à l’AAI.
Nokia et Siemens associent leurs activités respectives de réseau opérateur et leurs actifs correspondant dans cette nouvelle entreprise 50 :50.
Les deux parties  se sont entendues pour  accroître leurs contributions respectives dans la nouvelle entreprise  en termes d’actifs nets, Siemens devra ainsi contribuer à hauteur de 2,4 milliards d’euros, contre 1,7 milliards d’euros pour Nokia.
Forte  de son envergure et de son ampleur internationale, Nokia Siemens Networks s’impose comme un acteur majeur dans le domaine du développement de produits et  services innovants et rentables.
L’équipe  R&D de Nokia Siemens Networks comptera parmi les plus performantes au monde et travaillera au développement  de plates-formes produits et de services pour les réseaux fixes et mobiles de prochaine génération, précise le communiqué.
Selon, le directeur général de Nokia, Olli Pekkan kallasvuo, « Nokia Siemens Networks offrira à ses clients des solutions de pointe répondant de manière optimale à leurs besoins en termes de convergence tout  en leur permettant de réaliser des économies, ceci dans le contexte d’un  marché  des télécommunications en pleine consolidation ».
Pour sa part, Klaus Kleinfeld, président directeur général de Siemens AG : «  avec le lancement de Nokia Siemens  Networks, un leader d’envergure au potentiel de croissance exceptionnel rejoint l’élite du marché des télécommunications. Avec cette démarche, nous renforçons considérablement  notre position sur le marché et générons une valeur durable ».
 De son coté, le directeur général de Nokia Siemens Networks, Simon Beresford-Wylie, a expliqué que « un comportement éthique va bien au-delà des politiques, programmes et procédures, si rigoureux soient-ils. Il s agit avant tout d’une culture d’entreprises et de choix individuels. L’intégrité sera une composante prioritaire et profondément ancrée dans la culture Nokia Siemens Networks »