Microsoft a diffusé d'urgence mardi un correctif de logiciel pour pallier une vulnérabilité dangereuse de ses systèmes d'exploitation Vista et Windows, très attaqués ces derniers jours par des pirates informatiques.
Les attaques, dont l'origine a pu être tracée en Chine pour la plupart, s'étaient intensifiées, Microsoft ayant fait part de ces faiblesses jeudi.
Le leader des logiciels informatiques a ainsi diffusé ce "patch", baptisé MS07-017, une semaine avant la date prévue pour sa distribution mensuelle de mises à jour de sécurité, appelant les propriétaires d'ordinateurs à le télécharger depuis son site internet dédié à la sécurité.
La vulnérabilité des systèmes se loge, pour Vista comme pour Windows, dans les fichiers "ani", qui transforment le curseur en sablier, en animaux ou en figures animées lorsque l'ordinateur exécute un programme, selon la société de sécurité informatique F-Secure, basée en Finlande.
"Nous avons constaté une grande activité sur des fichiers ani pendant le week-end", a indiqué son directeur de recherche Mikko Hypponen.
"Cette vulnérabilité est très tentante pour les esprits malveillants. Ca devient facile de modifier le système d'exploitation, en attaquant via le web ou via courriel, c'est assez simple", a-t-il ajouté, précisant que la majorité des agresseurs se trouvait en Chine.
La version pour particuliers de Vista a été lancée fin janvier et présentée alors comme son logiciel le plus sûr. Un mois plus tard, Microsoft en avait déjà vendu 20 millions d'exemplaires.
Les systèmes d'exploitation de Microsoft font tourner plus de 95% des PC mondiaux.


Le 11ème rapport sur les menaces sécuritaires sur Internet de la société Symantec classe le système d’exploitation Microsoft Windows comme le plus sûr du marché comparé à ses principaux concurrents, indique un communiqué de Microsoft Algérie, reçu à l’AAI.
Ce rapport, émanant d’une source crédible et connue pour ces critiques à l égard de Microsoft ,bouleverse les idées reçues et met l ‘accent sur les efforts constants que déploient Microsoft afin de rendre ses logiciels plus sûrs pour leurs utilisateurs, ajoute le communiqué de presse.
Le rapport de Symantec démontre que Microsoft Windows à nécessité le plus faible nombre de et a connu le temps de mise en œuvre des « patches » les plus courts des cinq systèmes d exploitation faisant l objet de l étude au cours des six derniers mois de 2006.
« en tant que leader de l industrie informatique , Microsoft s adapte constamment pour combattre ces menaces, et travaille avec les autres sociétés informatiques pour mieux garantir la sécurité des systèmes d information des entreprises et protéger les consommateurs », a commenté Hervé Servy, directeur marketing de Microsoft Algérie.
Selon la même source, Microsoft relève ainsi le défi de l amélioration continue de la sécurité de son système d exploitation Microsoft Windows ,en adoptant une approche proactive qui privilégie la sécurité des utilisateurs.
« Les autres systèmes d exploitation concernés par cette études sont, dans l ordre, Red Hat de Linux Mac OS X de Apple ,HP-UX de Hewlett Packard et Solaris de Sun Microsystems », conclut Microsoft Algérie.


L'accessibilité tend à s'améliorer sur Internet, car la toile n'est pas réservée uniquement aux personnes ne souffrant pas de handicap physique.

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    Aujourd'hui, nous apprenons que le très célèbre constructeur informatique IBM prépare un navigateur pour les malvoyants.
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    En effet, à l'heure actuelle, des navigateurs similaires existent, mais ils ne font que lire à voix haute les contenus textes écrits sur le net. Mais aujourd'hui, Internet, ce sont surtout des contenus audios et vidéos qui en font sa richesse.
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    Intitulé "A-Browser", ce navigateur permettra aux malvoyants de lire les contenus flash et les vidéos inclus dans le lecteur Windows Media Player, lisible sur le web. Mais les vidéos ne se lanceront pas automatiquement, et le navigateur se basera sur beaucoup de raccourcis claviers.
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    Laissons le mot de la fin à la directrice du Centre de recherche d'IBM sur l'accessibilité et le corps humain de chez IBM, Frances West : « Nous commençons à nous intéresser de près à l'accessibilité. Ce n'est pas juste une question de responsabilité sociale, mais avec les baby-boomers qui vieillissent, nous pensons qu'une telle technologie pourrait profiter à la population en général puisque nous sommes tous amenés à suivre cette voie ».
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Les diabétiques et les personnes souffrant d'allergies sévères ont l'habitude de porter une médaille pour informer les secours de leurs maux. Ces renseignements, et bien d'autres, s'intègrent désormais dans des clés USB spécialisées. En cas d'urgence, celles-ci révèlent toutes les informations nécessaires à une meilleure prise en charge par les services hospitaliers.

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    Le français Bio-stick propose ainsi d'associer un service Web et une clé USB sur laquelle seront enregistrées les donneés relatives au patient et permettant aux services de secours d'être informés de son identité, de la personne à contacter, des grandes lignes de ses pathologies, puis d'entrer en relation avec les médecins traitants (grâce à la mention de leurs coordonnées).
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    Ces données sont disponibles en sept langues, une fois que l'utilisateur les a lui-même saisies. Muni de son numéro de clé USB et d'un code confidentiel, le patient renseigne les champs d'information sur le site Bio-stick.fr. Celles-ci sont ensuite transférées sur la clé. L'entreprise affirme ne conserver aucune donnée sur ses serveurs. 
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    L'ordre des médecins reste très réservé
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    D'autres prestataires de l'information médicale utilisent des périphériques informatiques, comme Simed. Moyennant un forfait annuel, cette société dispense, via un numéro téléphonique d'alerte, des données médicales aux services d'urgence. Une clé USB gratuite est également incluse dans certains abonnements. Chez Bio-stick, le périphérique coûte quant à lui 35 euros. Ces initiatives ont toutefois un défaut : en cas de perte, tout le monde peut avoir accès aux données personnelles des patients... 
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    Le Conseil national de l'ordre des médecins se montre très réservé au sujet de ces outils : « Sur une clé USB, les données sensibles ne sont pas protégées. On peut aussi se poser la question de l'utilité de ces périphériques en termes de généralisation. Seuls les patients qui auront fait la démarche seront équipés. Et les services d'urgence ne seront pas toujours informés de ce type d'initiative », commente Jacques Lucas, secrétaire général du conseil.
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    L'organisation roule en fait pour le prochain DMP (dossier médical personnel), mis en place en France par le ministère de la Santé. Les informations médicales des patients seront cette fois stockées sur des serveurs sécurisés chez un prestataire de services qui reste encore à choisir. Un appel d'offres vient d'ailleurs d'être lancé. « Même si le DMP prend du retard, il permettra, à terme, aux professionnels de santé d'avoir accès dans un cadre déterminé par le patient aux informations relatives à ce dernier, souligne Jacques Lucas. Chaque utilisateur aura la possibilité de masquer les données qu'il souhaite ne pas rendre accessibles à tous. Un décret doit être prochainement publié en ce sens. »
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    Outre-Atlantique, on a choisi la puce RFID
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    Le DMP, qui n'est accessible aux professionnels de santé qu'après autorisation du patient, comportera néanmoins un volet urgence. Cette fois ouvert à tous, il contiendra les informations importantes en cas d'hospitalisation non prévue, comme le groupe sanguin du patient, ses allergies ou ses pathologies évolutives en cours. 
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    Enfin, les réfractaires aux clés USB ou au futur DMP peuvent toujours opter pour la puce RFID. Outre-Atlantique, Applied Digital Solutions implante de telles puces sous la peau des patients. En scannant leur bras, le médecin a alors accès à une base de données sécurisée où sont stockés groupe sanguin et antécédents médicaux. Plus de 2 000 personnes auraient déjà été séduites selon Verichip Inside, filiale du groupe. Et plus de 500 hôpitaux seraient équipés de scanners permettant de lire ces informations. 
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    Mais ce procédé, validé par les autorités sanitaires américaines (Food and Drug Administration), provoque déjà la colère de quelques irréductibles, regroupés au sein d'un collectif baptisé No Verichip Inside, joignable sur MySpace.

Samsung SpinPoint S166 Samsung vient d’annoncer une nouvelle gamme de disques durs, les SpinPoint S166, que la société annonce comme très silencieux. Ils sont principalement destinés aux enregistreurs de salon, mais Samsung les conseille aussi pour les PC destinés à la bureautique ou à la vidéo, car le silence est important dans ces deux domaines.

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    Seulement 27,5 décibels pour un disque 3,5 pouces
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    Samsung indique que le bruit généré par ses disques n’est que de 27,5 décibels en fonctionnement et 24 décibels en veille. Un disque dur Hitachi de même capacité (7K160) est annoncé à 28 décibels en veille. Les SpinPoint S166 sont disponibles en version 80 Go et 160 Go et ont une vitesse de rotation de 7 200 tours par minute. Le cache est de 8 Mo (2 Mo sur certaines versions) et ils existent en deux interfaces : SATA 3 Gbps ou PATA.
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    Ils sont prévus pour le mois d’avril à un prix encore inconnu.
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PC portable multifonction, le Qosmio devrait offrir de nombreuses possibilités aux "geeks" férus de loisirs numériques.

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    Tout d’abord, cet ordinateur portable sera capable de lire et surtout d’enregistrer des HD DVD &amp; DVD, mais également de regarder la télévision grâce à un tuner Tuner TNT intégré.
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    Disposant d’un écran de 17 pouces d’une résolution de 1920x1200, et d’une interface numérique HDMI 1.3 pour les signaux audio et vidéo haute définition, le Qosmio G40 est un ordinateur ‘‘Full HD’’.
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    Toshiba annonce également avoir intégré 5 hauts parleurs Harman Kardon : 2 hauts parleurs Bass Reflection, 2 tweeters et pour la première fois un caisson de basse, faisant du G40 "un home cinéma portable."
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    Équipé du processeur Core 2 duo T7300P 2 GHz, du dernier chipset Intel 965 et d’une mémoire vive de 2 Go DDR2 extensible à 4 Go, le Qosmio G40 joue donc la carte de la puissance.
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    Qui plus est, il profitera d’un double disque dur de 2 x 200 Go et de la carte graphique nVIDIA GeForce8600M GT équipée de 512 Mo de mémoire vidéo (jusqu’à 1279Mo Turbo Cache).
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    Une webcam et un microphone y sont intégrés afin de profiter de la VoIP. Des commandes tactiles de réglage de volume et de navigation multimédia ont été ajoutées à gauche et à droite du clavier.
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    Enfin, le G40 est doté du dernier système d’exploitation de Microsoft Windows Vista Édition Familiale Intégrale et propose les logiciels Microsoft Works, Entertainment Suite et Microsoft Office (ndlr : attention, car il s’agit de versions d’évaluation.)
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    Mais toutes ces spécifications haut de gamme ont un prix. Cet ordinateur portable de "luxe" sera disponible dès le mois de juin 2007 à 3.000 euros.
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Le moteur de recherche, qui a dévoilé un nouveau système de publicité télé fondé sur le coût par clic, communique le nom de ses premiers clients.

google vient de dévoiler une nouvelle plate-forme de publicité télévisuelle dans l’espoir d’obtenir, dans le monde de la télévision numérique, un succès identique à celui son programme de publicité en ligne AdWords sur le modèle du pay per click.

Le moteur de recherche a signé un accord avec l'opérateur de bouquets de télévision par satellite EchoStar qui exploite DISH Network et avec le câblo-opérateur Astound Cable pour héberger un nouveau programme de publicité télévisée.

Suivant un procédé similaire à celui utilisé sur son programme de publicité en ligne AdWords, les annonceurs se prêteront à une mise aux enchères pour déterminer le prix des créneaux disponibles en fonction de la population, des heures d’écoute et de la chaîne visée. Les tarifs de diffusion dépendent du nombre de téléspectateurs exposés à la publicité.

Les annonceurs bénéficieront par ailleurs d’un rapport d’audience détaillé grâce aux données collectées sur les décodeurs des utilisateurs.

Google estime que ce programme suivra la même voie que son programme AdWords en ouvrant le marché de la télévision aux petits annonceurs.

Google AdWords est connu pour avoir popularisé le marché de la publicité sur le mode du pay per click*. Non content d’avoir introduit un modèle d’enchères pour déterminer les prix pour les mots-clés les plus populaires, le moteur de recherche s’est imposé comme pionnier dans le domaine de la publicité contextuelle. Ce type de publicité permet aux entreprises de s’assurer que leurs messages marketing n’apparaissent qu’en combinaison avec certains mots-clés spécifiques.

Google offre également aux entreprises la possibilité de contrôler leur budget publicitaire en leur permettant de définir leur budget dédié. De cette manière, aucune publicité n’est diffusée dès lors qu’est atteint le budget quotidien alloué.

En classant les publicités en fonction du nombre de clics utilisateurs enregistrés, Adwords encourage par ailleurs les annonceurs à utiliser les mots-clés les mieux appropriés. La publicité qui obtient le plus grand nombre de clics atteint ainsi la tête du classement, et inversement.

Google espère d’ores et déjà appliquer son modèle AdWords à la publicité radio. Le moteur de recherche a racheté l’an dernier la régie publicitaire dMarc Broadcasting pour un montant d’1,2 milliard de dollars en cash. Il s’est également essayé dans une moindre mesure à la publicité imprimée.

Le premier opérateur de télécommunications mobiles japonais, NTT DoCoMo, a annoncé lundi avoir développé une technologie qui permet de restituer fidèlement les voix sur les téléphones mobiles, contrairement aux procédés actuels.
La technique d'encodage, mise au point par NTT avec un de ses centres de recherches aux Etat-Unis, permet d'élargir notablement la bande de fréquences restituées lors des communications par téléphone portable, pour englober l'ensemble du spectre vocal, ce qui n'est pas le cas des systèmes aujourd'hui exploités.
Selon les technologies actuelles, seules les fréquences de la voix situées dans la plage 300 Hertz (Hz) à 3.400 Hz, soit uniquement les médiums, sont retransmises. Ce qui explique l'écart entre la tessiture de voix réelle de l'interlocuteur et celle nasillarde perçue à l'autre bout du fil.
Le nouveau système permet selon DoCoMo de couvrir l'éventail de fréquences de 50 Hz à 16.000 Hz. Il est ainsi potentiellement en mesure de reproduire l'ensemble des composantes, basses, médiums et aiguës, présentes dans toute voix humaine.
L'optimisation de la restitution des fréquences aiguës est un facteur essentiel pour les télécommunications, car elle permet d'améliorer l'intelligibilité de la parole.
Les restrictions actuelles sont dues à la faible puissance de calcul des téléphones pour encoder fidèlement des voix en temps réel.


Canon, abonné à la première place du podium, confirme sa position de leader sur le marché mondial des appareils photo numériques avec 18,7% de parts de marché. En 2006, il a ainsi distribué 19,7 millions d'appareils photo numériques, soit 23,3% de plus qu'en 2005. Il est suivi par Sony qui se classe en deuxième position avec 15,8% de parts de marché, Sony qui, rappelons-le, a repris depuis mars 2006 l'activité reflex de Konica Minolta, et qui a récemment levé le voile sur deux nouveaux reflex appelés à élargir sa gamme (qui ne comprend aujourd'hui que l'Alpha 100), en proposant des boîtiers aux utilisateurs experts et professionnels . Enfin, et malgré une baisse de parts de marché (10% contre 14,2% en 2005), Kodak complète le podium en occupant la troisième place.

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    En quatrième position vient ensuite Olympus, dont la part de marché a également reculé, passant de 9,8% en 2005 à 8,6%. La surprise vient enfin de Samsung qui, à la faveur de ses premiers pas dans le monde du reflex (voir cette brève) et d'une politique de produits originaux ( compacts New Vision, appareils photo multimédia…), passe assez brusquement de la neuvième à la cinquième place (7,8% en 2006 contre 3,8% en 2005). Il déloge ainsi Nikon (par ailleurs numéro deux sur le marché du reflex), qui se trouve recalé à la sixième place. 
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