Nous sommes en pleine période de recherche écologique, en plein dévelloppement durable avec le recyclage, la recherche d'énergie écologique et, de plus en plus de consommateurs se sentent concernés dans leurs achats, en se préoccupant de la consommation d'énergie des gadgets. Sunsei vient de sortir un chargeur solaire 135, qui est assez petit pour rester sur le tabeau de bord afin de donner une énergie continue à votre PDA, GPS, téléphone...quand vous roulez ou quand vous allez faire du camping. Selon la taille, la gamme de chargeurs solaires de Sunsei coûtera entre 39.95$ et 159.95$.

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Au cours de son passage au forum de la Chaîne I de la Radio nationale, Mme Houadri a Ghania a affirmé que le plus grand chantier d’Algérie Poste est le passage à la monétique. Des cartes magnétiques vont bientôt prendre le relais des chèques postaux classiques. D’ailleurs, une opération pilote a permis à près de 700 000 clients du CCP d’être dotés de cet outil pour leur besoin d’utilisation quotidien.
Ces cartes magnétiques qui vont être généralisées au cours de l’année 2008, équiperont près de 4,5 millions d’utilisateurs avant la fin de l’année 2007. Outre une plus grande souplesse d’utilisation et l’ouverture vers de nouveaux services à valeurs ajoutées, ce nouveau système permettra à Algérie Poste de réaliser des économies. En effet, un seul chéquier coûte 120 DA sachant que ces frais sont totalement supportés par Algérie Poste. En plus des cartes de retraits classiques, Mme Houadria a également annoncé la prochaine mise en circulation d’autres cartes magnétiques dédiées aux paiements. Scindées en deux catégories (Gold et Classique), ces cartes à puce peuvent servir pour le règlement des différentes opérations dans les commerces via les TPE ou alors via Internet. Au jour d’aujourd’hui, la poste compte près de 9 millions de clients titulaires de CCP. Il est prévu l’enrichissement de ce parc clients d’environ 400 000 nouveaux utilisateurs par an. Pour ce qui est des pannes récurrentes dans les réseaux informatiques de paiement (visu) la directrice d’Algérie Poste a expliqué que des solutions V-Sat vont être employées pour pallier les aléas du réseau filaire.

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Bien que l'on puisse penser que le coréen Samsung a pris position en faveur du Blu-ray dans la bataille que se livrent les géants de l'électronique grand public en matière de formats optiques de nouvelle génération, celui-ci vient de mettre à jour ordinateur portable M55 qui se voir désormais accompagné, si le client le désire, d'un graveur HD-DVD. Le M55 est également proposé en version Blu-ray, Samsung souhaitant vraisemblablement laisser le choix du format optique HD au client final. Cette offre est pour le moment limitée à la Corée du Sud, mais le fabricant pourrait choisir de l'étendre au reste du monde.

Le M55, qui avait déjà été proposé avec un lecteur (non graveur) HD-DVD, revient aujourd'hui dans une configuration plus musclée : ce portable 17 pouces 1920 x 1200 adopte en effet un processeur Core 2 Duo T7200, 2 Go de mémoire vive, un disque dur 120 Go Serial-ATA et une carte graphique GeForce Go 7600 de NVIDIA. Côté prix, il faudra compter un minimum de 3000 dollars pour mettre la main sur une version équipée du graveur HD-DVD.

Bien que la firme coréenne se soit engagé du côté du Blu-ray comme le montre par exemple sa récente platine de salon BD-P1000, Samsung choisit de ne pas montrer un soutien exclusif à l'un des deux camps, ce qui est sans doute la meilleure façon de rebondir en cas d'éventuelle adoption définitive du Blu-ray ou du HD-DVD par les marchés. D'autres, comme LG, ont pris le parti de proposer des équipements hybrides, compatibles avec les deux formats.

Le directeur des réseaux et systèmes d'information et de communication universitaires au ministère de l'Enseignement supérieur a présenté, hier, le plan d'action qu'entreprend cette structure dans le cadre de la réalisation du programme de modernisation du fonctionnement du secteur touchant aussi bien aux établissements universitaires qu'à l'administration.

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    Le directeur, le professeur Mohamed Bettaz, a expliqué dans une conférence de presse tenue au siège du ministère de l'Enseignement supérieur que la structure qu'il dirige vise la réalisation de deux axes dans les trois années à venir. Il s'agit de concrétiser, selon le directeur des réseaux, un système d'information complet qui devra coordonner toutes les activités au sein de l'université comprenant le suivi de l'enseignement, l'administration, les oeuvres universitaires, la coopération entre les directions des établissements, etc. Ceci, d'une part. Et de concrétiser pleinement le système de télé-enseignement pour le développement de l'enseignement à distance en même temps qu'il constitue le prélude à la création de l'université virtuelle. « L'enseignement à distance ou télé-enseignement répond à une évolution à laquelle l'enseignement ne peut échapper », a expliqué le même responsable. La mise en oeuvre du projet aura pour effet la maîtrise de l'enseignement à travers le territoire national et la promotion des établissements à l'intérieur du pays qui connaissent un déficit d'encadrement de haut niveau. 
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    Le projet verra, dans un premier temps, la mise en oeuvre d'un système de visioconférences dans l'ensemble des établissements universitaires concernés pour absorber le flux, affirme-t-on. Le télé-enseignement ou (e-learning), selon M. Bettaz, est au stade de l'acquisition d'équipements et il existe actuellement des projets avec des partenaires et sociétés, a-t-il indiqué. 
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«Professional generated content» ? Longtemps simple diffuseur de contenus amateurs, YouTube, l'une des deux plates-formes de VOD de Google, vient d'annoncer la signature d'un partenariat avec la chaîne britannique BBC afin de rediffuser certains de ses programmes : clips de nouveaux spectacles, contenu promotionnel dédié à des séries à succès, programmes documentaires, etc…

« La mise en place de ce partenariat révolutionnaire entre la BBC et YouTube est une grande nouvelle pour nos téléspectateurs. YouTube est une passerelle clé pour séduire de nouveaux publics, au Royaume-Uni comme à l'étranger. Ce partenariat offre à la fois un débouché aux créateurs de programmes de la BBC pour divers contenus courts et la possibilité d'étudier de nouveaux types de comportement du public. Il est essentiel pour la BBC de trouver des moyens d'élargir son audience grâce à des partenariats non exclusifs comme celui-ci. » commente Mark Thompson, directeur général de la BBC.

« Nous sommes très heureux de nous allier à la BBC pour offrir à la communauté YouTube les meilleurs programmes télévisés. Nous continuerons à investir dans nos plates-formes et technologies pour aider nos partenaires à tirer le meilleur parti de l'opportunité que constituent les milliards d'internautes. » ajoute Eric Schmidt, Président directeur général de Google.

Depuis le rachat de YouTube par Google pour 1,65 milliard de dollars en septembre dernier, la plate-forme de vidéo à la demande multiplie les accords avec des ayants-droits : Warner, la NBA ou désormais la BBC. Reste toutefois à savoir si en coopérant avec YouTube, la BBC n'est pas en train d'aider un futur concurrent…

Analyse - Selon des analystes, le constructeur de PC préparerait son entrée dans la téléphonie mobile, à la suite de HP et Apple. Des hypothèses qui reposent sur la récente nomination d'un patron de Motorola à la tête de la branche grand public de Dell.

Le leader mondial du PC pourrait prochainement tenter une incursion dans la téléphonie mobile pour ne pas se laisser distancer par Hewlett-Packard et Apple. C'est l'avis d'un analyste expert du secteur sans fil, après l'embauche par Dell de l'ex-dirigeant de l'activité téléphones mobiles de Motorola, Ron Garriques. Le constructeur l'a nommé il y a deux semaines à la tête de sa division grand public.

«Garriques apporte des compétences uniques qui, selon nous, vont être bientôt exploitées par Dell. Il a une très grande expertise du monde sans fil, un secteur dont Dell doit devenir un acteur - et vite - car HP et Apple se lancent sur ce segment de marché clé», écrit Jack Gold, de J. Gold Associates.

Un smartphone pour entreprises et public averti

Racheter un «acteur établi» tel que Palm, et se débarrasser des «composants non stratégiques de son activité», serait avisé pour y parvenir, avance même Gold.

Dell pourrait, selon lui, cesser la commercialisation des PDA non communicants - un marché en perdition - «dans l'année», en s'attachant plutôt à «proposer un smartphone doté de toutes les fonctions demandées par les entreprises et par le public averti, consommateur de haut de gamme (push mail, lecture/édition de documents, multimédia)».

«Dell ciblerait plutôt le grand public et les entreprises avec des produits qui se démarqueraient. Mais ils seraient motorisés par Windows Mobile, pérennisant la relation qui l'unit à Microsoft sur ses portables», détaille l'analyste. «Pour réussir, il ne lui faudra pas seulement des bons produits, mais aussi des partenariats avec des opérateurs pour ces appareils - un domaine dans lequel Garriques a une grande expérience, tandis que Dell n'en a aucune.»

Un marché sur lequel Dell aurait sa place

Le constructeur américain s'est refusé à commenter ce qu'il qualifie de «rumeurs, spéculations et/ou projets futurs», mais d'autres analystes se rallient à la théorie de Gold. «Les barrières à franchir pour créer un smartphone sous Windows ne sont pas si élevées», estime l'expert de Disruptive Analysis, Dean Bubley. Et d'ajouter: «Ce n'est pas comme si Dell manquait de ressources pour y arriver.»

Selon lui, Dell serait plus que le bienvenu sur le marché du smartphone d'entreprise, dans la mesure où des concurrents tels que HTC (fabricant n°1 mondial des smartphones sous Windows mobile, Ndlr) et iMate manquent de force commerciale ad hoc et ne se mettent «pas particulièrement à la portée de la clientèle d'entreprise. Mais Bubley se montre sceptique sur le fait que Dell puisse se rapprocher d'opérateurs, car il n'est pas «habitué, historiquement, à la vente par le canal des opérateurs». Une telle idée constituerait «un revirement complet» de son modèle de vente directe traditionnel.

«Si vous avez un canal de vente pour les smartphones, pourriez-vous justifier de ne pas avoir un canal pour les ordinateurs portables?», se demande Bubley. Il suggère plutôt que Dell pourrait être tout à fait capable de mettre en place «un canal d'envergure sans opérateur».

«Dell devra forcément collaborer avec les opérateurs»

«Étant donné que nombre d'offres pour entreprises [convergence fixe-mobile] vont être relativement indépendantes des opérateurs, puisqu'elles sont sources d'économies pour les entreprises, cela a du sens d'avoir des téléphones à un prix non fixé par les opérateurs», poursuit l'analyste. Mais les autres fabricants «semblent plus hésitants à prendre le risque de tuer la poule aux oeufs d'or», déplore-t-il.

Un avis que ne partage pas Gold: «Si vous voulez vous lancer sur le secteur du sans-fil, collaborer avec des opérateurs est inévitable. C'est bien de vouloir vendre en direct, mais si votre appareil n'a pas été testé sur le réseau d'un opérateur, il ne vous laissera pas l'utiliser. Bien sûr, on peut toujours se servir d'une carte SIM, mais si l'appareil n'a pas été approuvé, l'opérateur peut facilement le désactiver. Même si cette idée est déplaisante, les opérateurs ont vraiment ce pouvoir.»

Et l'analyste de Gold Associates de conclure: «Même Apple, qui compte vendre directement aux utilisateurs finaux, a un partenaire côté opérateurs [AT&T/Cingular aux États-Unis] qui a testé et validé son produit. Alors je ne crois pas que Dell aura d'autre choix que de coopérer avec les opérateurs, peut-être en complément de la vente de ses appareils en direct aux entreprises.»


Les assises que tient depuis lundi au palais des Nations le ministre de la Participation et de la Promotion de l’Investissement (MPPI), auront eu le mérite de faire remonter à la surface tous les sentiments qui alimentent les attaques sournoises auxquelles se livrent depuis longtemps secteur public et privé, pouvoirs publics et entrepreneurs, politiques et techniciens ou technocrates.

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    Au-delà de l’apport des TIC au développement de l’entreprise et de sa compétitivité et des réactions de ceux qui sont pour et ceux qui hésitent, il y a ceux qui veulent « avant toute chose, régler des contentieux et de graves dérives que l’ouverture du secteur national a provoqués ». Beaucoup - et c’est compréhensible - veulent taire leur identité « par crainte de représailles parce qu’ils nous bloqueront pour la vie ». D’ailleurs, disent-ils, « ils nous reconnaîtront parce que nous nous sommes élevés contre leurs pratiques ». Leurs pratiques ? « C’est le blocage des TIC », dit un spécialiste dans le domaine. L’Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT) est pointée du doigt. Nos interlocuteurs ont gros sur le coeur. Ils expliquent : « cette autorité est en principe chargée de réguler le secteur en veillant à ce que la concurrence soit loyale mais elle a bloquée le IP (téléphone par Internet) alors que les providers en ont besoin ! Les pouvoirs publics ont donné quelques autorisations aux copains mais plus rien après. On sait que tout ça est fait pour protéger Orascom ». Nos spécialistes des TIC affirment : « une telle décision est contraire à la loi parce que celle-ci ne définit ni la quantité d’autorisations qui doivent être délivrées ni le temps dans lequel elles doivent l’être ». Un jeune provider note que « l’ARPT a soumis cette décision à son conseil d’administration alors qu’elle a autorité de décision ». On en vient tout de suite au « problème fondamental : dans le GSM et le fixe, il y a des coûts à rattraper ». On rappelle pour l’histoire que « l’Etat a donné deux licences GSM et une fixe à des étrangers ». C’est, disent nos providers en colère, « une hypothèque totale du secteur ».
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    On en vient à affirmer que « le cahier des charges est anticonstitutionnel, ne serait-ce que parce qu’il oblige le paiement de la licence en dollars ! » Une première conclusion est affirmée par notre jeune provider : « l’Etat n’a plus la maîtrise du secteur, il doit en urgence repenser la privatisation d’Algérie Télécom ».
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    L’on prévient qu’il n’est pas facile de rattraper les coûts perdus « mais les pouvoirs publics peuvent y remédier et préserver l’avenir, les TIC c’est comme les hydrocarbures, c’est stratégique et névralgique ! » D’où : « la participation du capital national dans ce secteur s’impose de fait ». Il est impératif, selon ces intervenants dans le domaine, « que l’Etat peut appeler les repreneurs étrangers à se mettre autour d’une table et les forcer à se mettre en partenariat avec un ou plusieurs groupes algériens, d’autres pays quand ils ont vu le danger, l’ont fait ! » Il est aussi suggéré que « les nationaux participent dans le capital d’Algérie Télécom ou de Mobilis ». A défaut, « c’est une concurrence déloyale et aussi comment voulez-vous que les TIC fonctionnent pour le développement de l’environnement économique quand elles sont détenues par des étrangers qui sont loin d’être intéressés par l’investissement à cet effet ? ». L’on souligne avec amertume l’importance des dividendes que les étrangers acquièrent chaque année « sans effort et sans aucune contrepartie pour l’Etat ». Les gens du métier et même les institutionnels parlent de près d’un milliard de dollars de dividendes qui sortent chaque année du pays. Ce qui signifie « qu’il n’y a aucun équilibre dans la balance des paiements du secteur, aucun entre les entrées et les sorties d’argent ». On refuse de revenir sur « comment les opérateurs étrangers ont monté le financement pour l’acquisition des licences, cela importe peu et c’est de l’histoire ancienne ». Mais l’on tient à s’arrêter sur « le comment du pourquoi de l’Etat qui n’a pas pris en compte les intérêts nationaux pour des choix aussi stratégiques ».
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    D’autres reproches viennent se greffer à ce constat amer fait par des participants aux assises de Temmar. « C’est bien de vouloir développer les TIC dans le cadre de la stratégie industrielle mais il faut d’abord de l’argent mais aussi l’émergence de distributeurs virtuels (MVNO) qui est la grande tendance dans le monde du développement parce qu’ils sont l’intermédiaire entre l’homme d’affaires et le grand public ». Pour l’argent, on déplore « l’inexistence d’une place financière algérienne qui fait d’ailleurs défaut à toute l’économie ».
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