Les fabricants asiatiques affichent un intérêt 'agressif' pour cette technologie

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    Publicité Les premiers ordinateurs portables équipés d'écrans 3D 'souples' devraient apparaître sur le marché avant la fin de l'année, et commencer à être diffusés plus largement en 2008. C'est en tout cas ce qu'affirment les fabricants taïwanais de matrices pour écrans plats.
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    C'est en juin 2006 que le sud-coréen Samsung a présenté, lors des conférences SID (Society for Information Display) qui se sont tenues à San Francisco, un premier écran 3D OLED (Organic Light-Emitting Diode) de 4,7 pouces en technologie AM (Active-Matrix) destiné aux téléphones mobiles (jusqu'à présent ces écrans étaient à matrice passive).
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L’Autorité de régulation des postes et télécommunications (ARPT) ne se résigne pas devant les accusations portées à son encontre, en début de semaine, par les responsables du ministère du Commerce, lui endossant la responsabilité de la situation «anarchique » du secteur de la téléphonie mobile en Algérie. Dans un communiqué rendu public hier, l’ARPT se défend contre ces accusations, en rappelant qu’il n’est pas dans ses prérogatives de contrôler la vente informelle des cartes SIM encore moins celle des téléphones portables contrefaits ou ceux échappant aux réseaux légaux de commercialisation.
Alors habituée à gérer les conflits qui lui sont soumis par les différents opérateurs de la téléphonie fixe et mobile, même si ses décisions ne répondent pas toujours aux aspirations de ceux qui demandent son arbitrage, l’ARPT se voit, pour la première fois, attaquée et sévèrement critiquée par un organisme public qui n’est autre que le ministère du Commerce. Ce dernier, ayant d’énormes difficultés à structurer le secteur de la téléphonie mobile, qui est en pleine explosion et ouvrant de larges portes à la contrefaçon et au commerce parallèle, incombe la responsabilité de ses défaillances à l’ARPT. Sachant que le marché légal de la téléphonie mobile est seulement de 20%, selon un responsable de l’Entreprise portuaire d’Alger, qui, intervenant à la conférence de l’UGCCA la semaine dernière, a jeté un pavé dans la mare, en déplorant l’absence des chiffres fiables concernant la régulation de ce marché. Des chiffres qui devraient être identifiés par le ministère du Commerce, en soumettant les opérateurs et les importateurs de la téléphonie mobile à un contrôle régulier et rigoureux. Une politique qui n’est pas encore adoptée par le ministère qui, en toute vraisemblance, s’est attelé à l’éradication des marchés illicites, sans se soucier de la marchandise vendue. Ainsi, dans son communiqué, l’ARPT a souligné avec précision les tâches qui lui sont conférées par la 2003- 03 du 5 août 2000, fixant les règles générales relatives à la poste et aux télécommunications. Il s’agit entre autres de veiller au droit de propriété, d’établir un plan national de numérotation, d’examiner les demandes de numéros et de les attribuer aux opérateurs, se prononcer sur les litiges en matière d’interconnexion, abriter ces litiges, octroyer les autorisations d’exploitation, surveiller la publicité tarifaire, l’identification des abonnés. Cependant, l’ARPT persiste et signe : la police du marché, la lutte contre la contrefaçon «n’entrent pas dans le champ de compétence de l’ARPT». L’instance de régulation regrette la démarche des responsables du ministère du Commerce, qui, selon le communiqué, «se sont lancés dans des allégations infondées, qu’ils auraient pu épargnés, s’ils avaient pris le soin de se rapprocher de l’ARPT». Il est à se demander si cet état de fait n’est pas généré par la méconnaissance de certains dossiers, pourtant importants, dans le domaine de la téléphonie mobile ?


Arténia, 1er fournisseur de solutions de signalétique dynamique en Algérie (Digital Signage), intervient dans le développement et la distribution de solutions logicielles d’affichage dynamique et players multimédias, ainsi que le déploiement et la maintenance de parc écrans/players. Elle entend, selon son responsable Djamel Ait Gana, élargir sa gamme de produits à la création et fourniture de contenu pour les applications de ses solutions.

Introduction à la technologie Affichage Dynamique :

Face aux médias traditionnels – télévision, radios, journaux, affiches papier –, apparaît aujourd’hui en Europe, aux USA et ailleurs, en tous lieux publics ou privés, en intérieur ou en extérieur, de plus en plus de dispositifs audiovisuels qui attirent l’attention, distraient, informent, permettent de trouver le chemin, font patienter dans les files d'attente, incitent à se renseigner, à consommer, à agir.

De la grande surface aux commerces de proximité, du parlement à la mairie, des sièges sociaux de multinationales à la PME et aux professions libérales, des musées locaux aux parcs à thème, les professionnels du marketing et de la communication ont la possibilité d'utiliser leur propre média audiovisuel. Le communicant peut ainsi concevoir et mettre à jour ses grilles de programmes tout en disposant ses points de diffusion – écrans, bornes interactive, hologrammes, etc. – où il le décide.

Applications :

Une réponse adaptée aux problématiques des secteurs marchands

Qu’il s’agisse d’animer les lieux de ventes ou de participer à la communication externe d’entreprises, la CAD (Communication audiovisuelle dynamique) s’est imposée par l’efficience de ses réponses. Ses effets, qui peuvent se combiner, sont les suivants :
• participer à l’augmentation du chiffre d’affaires, en poussant le public à la consommation de produits implicitement ou explicitement promus ;
• accélérer l’introduction sur le marché de nouveautés, en facilitant leurs mises en avant et leurs appropriations à la fois par le consommateur et par le vendeur ;
• permettre de communiquer sur une plus large gamme de produits, aidant ainsi le client à trouver ce qu’il cherche
• fournir aux partenaires annonceurs un support dynamique pour communiquer sur le lieu de vente ;
• augmenter la notoriété des sociétés d’un groupe auprès du grand public ;
• moderniser l’image d’une enseigne en rendant les points de vente plus attractifs, dynamiques et modernes ;
• renforcer une ambiance et/ou une identité de marque.

Un formidable auxiliaire pour les services publics

La CAD permet aux administrations d’améliorer l’accueil et l’information des administrés. Elle concourt ainsi à l’accomplissement des missions du service public. D’autre part, en donnant la possibilité de diffuser des messages sur la vie locale, de signaler des événements, de réaliser des reportages sur des habitants ou des associations, un média audiovisuel dynamique participe au renforcement du “lien social”.

Un vecteur puissant de communication interne

L’écran vidéo mis en réseau, à des lieux stratégiques, devient le support idéal dès lors qu’il s’agit de toucher l’ensemble des salariés dans tous les environnements, avec un message précis par rapport à un contexte donné. Il est possible, par exemple, de diffuser une information de type institutionnel (corporate) sur tous les sites de production d’un groupe, comme de fournir des informations propres à chaque établissement, liées à son activité.

Les chiffres du Digital Signage :

Selon différentes études :
• La fréquentation : 89% des consommateurs sont favorables à un affichage dynamique sur le point de vente (source KPMG)
• Les ventes : +24% de ventes supplémentaires pendant une campagne d'affichage dynamique (source POPAI R.U)
• L'image : 75% des visiteurs se souviennent d'un affichage dynamique (source IPSOS) - contre 44% pour un affichage traditionnel.

Les métiers du Digital Signage :

Constructeur
Fabriquant d'écrans de diffusion plasma ou LCD, de vidéoprojecteurs, de dalles et d'écran de projection, de PC multimédia et Players propriétaires, de pieds et supports pour écrans et d'accessoires pour les installations de Signalétique Dynamique.

Editeur de logiciel
Développeur et éditeur de solution logicielle de Signalétique Dynamique, logiciels de supervision et transfert de data, logiciel player multimédia pouvant être piloté à distance ou autonome.

Intégrateur
Société spécialisée dans l'intégration et la configuration de solutions logicielles de Signalétique Dynamique, paramétrage de réseaux.

Installateur
Société spécialisée dans le déploiement et la maintenance de parc écrans / players pour les systèmes de Signalétique Dynamique.

Régie publicitaire
Régie publicitaire gérant pour son compte ou celui de ses clients des réseaux de Signalétique Dynamique

Hébergeur
Société assurant l'hébergement de serveurs applicatifs ou de stockage spécialisé dans les applications de Signalétique Dynamique.

Agence conseil
Agence de communication ou marketing spécialisée dans le conseil en déploiement de système de Signalétique Dynamique pour des application de PLV, communication interne, information.

Fournisseur de contenu
Fournisseur de contenu / médias réguliers, en ligne ou non, tel que info météo, trafic routier, information financières etc…

Créateur de contenu
Agence de graphisme spécialisée dans la production de contenu / media pour les applications de Signalétique Dynamique.

Organisateur de salons
Organisateur de salons dans le domaine de la Signalétique Dynamique.

Publication professionnelle
Editeur de publication professionnelle pour le marché de la Signalétique Dynamique, étude de marchés, analyses etc…

Distributeur
Entreprise de négoce assurant l'importation et la distribution de matériels et logiciels pour les applications de Signalétique Dynamique.

Consultant
Consultant spécialisé dans le domaine de la Signalétique Dynamique réalisant des études marketing, communication, aménagement point de vente, techniques dans le cadre d'application de Signalétique Dynamique.


Un nouveau virus se répand sur les ordinateurs par le biais de clés USB. Nommé SillyFD-AA par les laboratoires antivirus, ce code malveillant s'installe sur les systèmes Windows et affiche un message "Hacked by 1Byte" lorsque Internet Explorer est lancé. Une fois installé, le virus laisse ouverte une porte dérobée sur Internet.


Deux conditions : les prix devront baisser et les capacités de stockege augmenter

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    Publicité Le disque dur n'est pas mort, mais il pourrait vivre ses dernières années de domination. En effet, l'adaptation de la mémoire flash dans les PC portables est aujourd'hui une réalité. Aujourd'hui réservées aux plus fortunés, ces machines pourraient s'imposer dans les prochaines années.
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    Il faut dire que la mémoire flash, en tant que mode de stockage pour les PC, possède de nombreux avantages. Elle permet de réduire le poids, la température, le bruit et la consommation des PC tout en améliorant le démarrage et la vitesse de l'ordinateur.
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    En entreprise, l'utilisation de la mémoire flash permet de réduire les coûts de maintenance grâce à l'absence de pièces mécaniques.
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    Selon divers analystes interrogés par Reuters, 20% des nouveaux modèles d'ordinateurs portables seront dotés de "disques" flash ou SSD (solid-state drives), d'ici 2010.
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    Dans trois ans, 32 millions de nouveaux modèles de PC portables devraient être dotés de "disques" flash, contre à peine 4 millions à l'heure actuelle, pronostiquait récemment dans un rapport l'institut Gartner.
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    Un autre spécialiste des études de marchés prédit qu'un sixième des ordinateurs portables à destinations des clients entreprises auront recours à la technologie flash.
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    Pour autant, certaines conditions sont à remplir pour que cette technologie puisse s'imposer massivement. Les prix des machines dotées de ces composants devront baisser. Aujourd'hui, il faut parfois débourser le double du prix normal pour s'offrir un PC SSD. Mais dans le même temps, le prix des mémoires flash baisse de moitié chaque année.
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    Par ailleurs, la capacité de ces mémoires restent encore très inférieures à celle des disques durs. Mais là encore, ces capacités sont doublées chaque année. Et de nombreux observateurs estiment qu'il sera tout à fait possible de faire coexister les deux technologies dans un premier temps, la mémoire flah pouvant être utilisée pour le démarrage et le stockage du système tandis que le disque dur contiendrait les données.
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    Conclusion, ces conditions sont en passe d'être levées. Comme nous le confirme Matthieu Gaillot, responsable des relations internationales chez Antéor, grossiste importateur des disques PQI: "Leur prix est divisé par deux tous les mois, ou leur capacité est multipliée par deux pour le même prix."
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    A titre d'exemple, un disque dur Flash de 64 Go (soit la capacité d'un disque dur d'ordinateur portable d'entrée de gamme) est aujourd'hui proposé à 1.600 euros. Il était à 2.205 euros il y a seulement un mois.
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    Selon PQI, les premiers portables équipés d'un disque 'Flash' et de Windows, et proposés à un prix abordables, arriveront avant la fin de l'année.
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Sony devrait prochainement lancer une nouvelle gamme d'ordinateurs portables ultras légers dotés d'un écran large d'une diagonale de 11,1 pouces. Le TZ11XN/B utilisera un processeur basse consommation Core 2 Duo U7500 accompagné de 2 Go de mémoire vive et d'un disque dur de 100 Go. Un modèle équipé de seulement 1 Go de mémoire vive et d'un disque dur de 80 Go, le TZ11MN/M, devrait également voir le jour. Les deux modèles seront équipés d'une webcam et d'un microphone et seront livrés avec Windows Vista Business.

Mais c'est en particulier au niveau de l'autonomie que ces deux ultra portables sortent du commun : Sony annonce en effet une autonomie atteignant 9 heures ! Ces deux modèles sont attendus pour le mois de juillet et bien que leurs prix ne soient pas encore connus, on peut raisonnablement s'attendre à ce qu'ils dépassent les 2 500 euros.

Le marché de la téléphonie mobile n'est pas organisé et les opérateurs font ce qu'ils veulent. Le constat a été dressé par Mme Loungar Houria, représentante du ministère du Commerce, lors d'une conférence animée hier au siège de l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), à Alger.

Selon la conférencière, cette situation «n'incombe pas au département du commerce, même si ce dernier est en charge du contrôle de l'activité commerciale». Pour Mme Loungar Houria, la responsabilité est en premier lieu celle de l'Autorité de régulation de la poste et des télécommunications (ARPT), en charge de réguler le marché de la téléphonie mobile. Mieux, la représentante du département du commerce cite des exemples sur cette situation de «non-contrôle du marché de la téléphonie mobile», invitant en cette circonstance les consommateurs «à agir pour faire valoir leurs droits». Et de rappeler à l'assistance que «la problématique du marché informel est l'affaire de tous, et pas seulement celle des autorités».

Cette conférence-débat, organisée par l'UGCAA, a été également marquée par la participation de patrons d'entreprises du secteur de la téléphonie mobile. Ainsi, des représentants des entreprises Algérie K-Point, Algerieka, ont évoqué la problématique de l'informel, indiquant que «le secteur de la téléphonie mobile, en l'absence de régulation, voire de contrôle, est caractérisé par une clochardisation» qui ne dit pas son nom.

A ce sujet, on a avancé des chiffres selon lesquels, en 2002, l'importation légale des téléphones mobiles a été de 350.000 pour seulement 300.000 puces, alors que deux années après, soit en 2004, la baisse des prix de la téléphonie a permis la commercialisation de 3 millions de portables, soit une hausse de un million deux cent mille mobiles en une année. On ajoute que c'est durant l'année 2005 que le secteur a connu une expansion sans précédent avec la commercialisation de dix millions de puces pour 2,2 millions de téléphones portables importés.

Pour sa part, le chargé de communication de l'Entreprise portuaire d'Alger (EPAL), M. Kaci Aïssi, a laissé entendre pour sa part qu'il y a «des non-dits dans les chiffres avancés concernant l'importation des mobiles». A ce sujet, il dira que des pratiques allant dans le sens de sous-déclaration en douane de toute les parties, y compris des opérateurs eux-mêmes, n'aide pas à disposer de chiffres réels. Selon lui, le marché légal est de 20%, le reste étant informel.


Nedjma, (WataniyaTélécom Algérie),l’opérateur leader du multimédia mobile en Algérie a organisé hier mercredi à l’hôtel Hilton à Alger une cérémonie en hommage à la presse algérienne et décerné les prix aux lauréats du concours « L’Etoile d’Or 2007 ».
Ce concours destiné aux journalistes algériens de la presse écrite et audiovisuelle, le premier du genre à être lancé par un opérateur de téléphonie en Algérie, récompense les meilleurs travaux journalistiques diffusés entre le 3 mai 2006 et le 15 mars 2007. Un jury composé de personnalités connues dans le monde des Médias et de la Communication a évalué et sélectionné les meilleurs travaux.
« L’Etoile d’Or » a été instituée par Nedjma pour encourager la professionnalisation de la presse et le travail journalistique de fond sur le domaine des nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication, selon un communiqué de l’opérateur.
« Cette initiative, qui vise à favoriser l’émergence d’une presse professionnelle spécialisée, fait partie d’une série d’actions au profit des journalistes algériens entreprises par Nedjma dont on citera les nombreuses séances de formation sur les nouvelles technologies de l’Information et de la communication assurées par des experts ».
Nedjma a reçu dans le cadre de ce concours, près d’une trentaine de candidatures des différents médias algériens, publics et privés, de la presse écrite et audiovisuelle.
Après évaluation et étude des travaux par les membres du jury, celui-ci a désigné cinq lauréats : « Etoile d’Or presse écrite » : Zoubir FADEL du quotidien El Khabar pour son article intitulé : « La technologie bluetooth facilite la vie mais augmente le nombre de victimes : les Algériens s’échangent des images horribles à travers le mobile », « Etoile d’Or programmes radio » Siham SAIM de la radio El Bahdja pour une émission sur « les effets du mobile sur la santé ».
Les prix d’encouragement ont été attribués à : Fayçal MEDJAHED pour son article : « Plus de 50% des puces prépayées non identifiées » publié sur « Liberté Economie », Kamel Belaid (Lotfi MERAD) du « Soir d’Algérie » pour son article : « Marché des téléphones portables en Algérie : un seul mobile, l’argent » et Amel BLIDI d’ »El Watan » pour son analyse publiée sur Algeroscope sous le titre : «Extraordinaire boom de la téléphonie mobile en Algérie ».
Nedjma a aussi rendu « hommage à plusieurs journalistes dont certains à titre posthume, qui ont marqué aussi bien par leurs parcours que leur combat les plus belles années de la presse algérienne de l’Indépendance à nos jours ».
Les journalistes honorés sont : Mohamed Abderrahmani (hommage posthume), Bachir Rezzoug, Mme Baya Hachemi, Mme Meriem Yacine, Smaïl Yefsah (hommage posthume), Kheïreddine Ameyar (hommage posthume), Tahar Benaïcha, Merzac Bagtache, Mâamar Farah.
Une distinction a été dédiée à toute la presse algérienne pour son combat pour la liberté d’expression.
En marge de la cérémonie, les invités ont pu découvrir une exposition sur les « Unes » des premiers journaux indépendants parus au lendemain de l’ouverture du paysage médiatique au secteur privé intervenue au début des années 1990, préparée par le Cabinet d’Etude et de Conseil en Communication Media Marketing qui détient la collection complète de l’ensemble de la presse indépendante algérienne depuis son lancement.