Entériné le 13 octobre dernier, « un partenariat stratégique » a vu s’unir Samsung à Cévital et donner naissance à une « entente exemplaire » ayant pris forme dans l’entreprise Samha (Samsung Home Appliance).

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    Filiale du groupe algérien des industries agroalimentaires, également présent dans l’automobile, les industries du verre plat, etc., Samha est voulue par le directeur pour la région Afrique et Moyen-Orient de Samsung, M. Chi Won Suh, « un trait d’union entre le consommateur algérien et la compagnie sud-coréenne ».
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    En fait, les noces des deux entreprises leaders chacune dans son pays et son domaine verront la création, déjà effective, du Samsung Plaza, un espace dédié à la marque où seront exposés et proposés à la vente ses produits et, à venir, une usine de fabrication d’appareils électroniques, électroménagers et informatiques ainsi que des équipements de télécommunication. Construite sur les fonds propres de Cévital pour une valeur de 75 millions de dollars, l’usine en question « commercialisera et distribuera 600 000 unités par an », dont M. Isaad Rebrab, président-directeur général de Cévital, dira qu’elles « seront identiques aux produits manufacturés par Samsung en Corée ou ailleurs et répondront aux mêmes standards de fabrication en usage dans tous les pays où le constructeur sud-coréen dispose d’une usine ». Opérationnelle à partir de mai 2007, elle créera « également 1 200 postes de travail directs ainsi que plusieurs milliers d’emplois indirects une fois entrée en production ». De plus, ce sont 100 boutiques Samha qui en assureront l’écoulement en reposant sur un « escadron » de plus de 200 magasins franchisés et ce, à travers tout le territoire national. Sans oublier les Samsung Plaza dont trois autres verront le jour incessamment : un à Kouba, un autre à Annaba et un dernier à Oran. L’objectif est d’atteindre 92 qui seront répartis sur l’ensemble du pays. Cependant, il ne s’agira pas seulement de construire une usine en y intégrant les différents processus de fabrication. Il est surtout question d’un transfert de technologie et de savoir-faire qu’assurera pour le compte de Samha le sud-coréen Samung à travers ses techniciens et autres ingénieurs qu’il compte dépêcher à Alger pour soutenir et assister son nouveau partenaire.
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    Source :algerie-dz.info
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Placée sous le thème : « Edification de la société algérienne de l’information et de la communication », la 6e édition du Salon des NTIC a ouvert ses portes dimanche dernier.

Algérie Télécom Internet Djaweb, lancera avant la fin du mois de décembre une plate-forme d'accès à Internet à haut débit, de type ADSL d'une capacité globale de plus de 100.000 accès.

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    Selon la DG, Mme ATIF Houria, Djaweb vise par cette plate forme "contribuer au renforcement de l'ADSL dans notre pays et de celle de l'entreprise sur le marché 
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    national de l'Internet".  
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    Equipe N'TIC

Le programme spatial national Alsat-2, qui ambitionne de doter l’Algérie de deux satellites très haute résolution pour ses besoins en communications satellitaires et d’observation scientifique du territoire, est entré dans sa phase de réalisation.

Conduit en partenariat avec l’Agence spatiale algérienne (ASAL) et EADS Astrium, ce projet se concrétisera au bout de deux années avec à la clé un transfert de compétence et de savoir-faire entre le maître d’œuvre et le Centre national d’études spatiales d’Arzew (CNTS), rattaché à l’ASAL, qui en assurera l’exploitation.

De passage à Alger le 30 octobre dernier, le président-directeur général d’EADS Astrium, M. Antoine Bouvier, avait été reçu en audience par le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, M. Haïchour. Durant cet entretien, les deux hommes ont affiché chacun leur satisfaction de voir l’un se laisser confier un « si important projet » et l’autre « profiter d’une expertise dans le domaine des technologies spatiales de dernière génération ». Et de tomber d’accord sur le sens d’une collaboration fructueuse et complémentaire entre les deux parties. D’ailleurs, 29 ingénieurs algériens ont été admis en résidanat à Toulouse afin de suivre avec leurs homologues français les différentes étapes qui prédestineront à la mise sur orbite de deux satellites d’observation de la Terre baptisés Alsat-2A et Alsat-2B. « Ce sont des satellites qui intégreront des applications de dernière génération et qui serviront le développement durable », avait déclaré M. Bouvier à cette occasion. « Au-delà de l’aspect commercial ou financier de ce programme, nous nous réjouissons que l’Algérie ait opté pour le savoir-faire d’EADS Astrium. De plus, ce contrat de coopération dans le domaine spatial revêt un caractère stratégique particulièrement pour les liens privilégiés qui unissent les deux pays », ajoute-t-il. M. Haïchour, pour sa part, reviendra sur les grandes réalisations de l’Algérie dans le domaine des télécommunications mais surtout sur l’engagement résolu et sans faille à aller vers la société de l’information. Dans une lettre publiée sur son site Internet, EADS Astrium rappelle que « le contrat Alsat-2 prévoit la conception et le développement de 2 satellites : le premier, Alsat-2A, sera intégré et testé en France chez EADS Astrium. Le second, Alsat-2B, sera intégré en Algérie au sein de l’Unité de développement de petits satellites à Oran. Le programme Alsat-2 comprend également la mise en œuvre de 2 segments sol de contrôle et d’un terminal image permettant l’exploitation et le pilotage des satellites depuis le territoire algérien ». Alsat-2 dispose d’une charge utile de dernière génération qui permettra de fournir des images de très haute résolution. « Le CNTS sera responsable du programme Alsat-2 et en assurera l’exploitation. Il permettra à l’Algérie d’obtenir des images de très haute qualité qui seront utilisées dans une large gamme d’applications : cartographie, gestion des ressources agricoles, hydriques, forestières, minières et pétrolières, lutte antiacridienne, gestion des catastrophes naturelles et d’aménagement du territoire. Dans le cadre de ce programme de coopération, les ingénieurs algériens travailleront avec l’équipe de développement d’EADS Astrium et suivront une formation intensive en matière de techniques spatiales. » Depuis octobre 2004, le Centre national des techniques spatiales d’Arzew était entré dans un processus d’acquisition d’infrastructures (salles blanches, moyens d’essais, systèmes d’intégration) pour la réalisation de petits satellites et a signé un accord pour plusieurs lancements avec Roskosmos, l’agence spatiale russe. Enfin, à partir de 2008, date du lancement des deux satellites Alsat-2A et 2B, l’Algérie s’acheminera vers la construction par elle-même du premier satellite de télécommunications, Alcom-Sat 1, dont la mise sur orbite est prévue pour 2009.


Source: algerie-dz.info

La télévision algérienne, en coopération avec LBC, va diffuser sur le Maghreb et le Moyen-Orient, une adaptation des deux émissions de divertissement à succès "Fort Boyard" et "Koh-Lanta".

L’émission française "Fort Boyard" a été rebaptisée "Bordj el-Abtal" (Le Fort des héros) par l’ENTV, qui s’apprête à lancer, le 25 novembre, "Ich barari" (vivre dans la nature), inspirée de "Koh-Lanta", elle-même adaptée de l’émission américaine Survivor.

Filmée dans le site du fort Boyard, en Charente maritime, "Bordj el-Abtal" sert de support à la promotion d’associations touristiques et d’artistes algériens. Elle en est à sa troisième diffusion.

"Ich Barari" doit mettre en compétition une équipe du Moyen Orient et une du Maghreb, qui doivent prouver leur capacité de survie dans la nature avec les moyens du bord. Les concurrents s’affronteront dans le parc national d’El-Kala, dans l’est algérien.

L’équipe du Moyen Orient sera composée de candidats de Jordanie, du Koweit, d’Arabie Saoudite, de Syrie et du Liban. Celle du Maghreb de candidats d’Algérie, de Tunisie, du Maroc, de Libye et d’Egypte. Selon le ministre algérien du tourisme Noureddine Moussa , l’Algérie veut rattraper son retard en développant un "tourisme de découverte et d’aventure".

Source: algerie-dz.info

ALGERIE TELECOM INTERNET DJAWEB informe sa clientèle qu’elle réduit les tarifs de ses services.

? Service d’accès « 1515 » : la baisse varie selon la durée totale de connexion dans le bimestre. Elle peut atteindre 50%.



Nombre d’heures de connexion 15 15 dans le bimestre

Ancien tarif Nouveau tarif Pourcentage de Réduction


< 120 H 81,60 DA/Heure/TTC 50,00 DA/Heure/TTC 40%

>120 H 81,60 DA/Heure/TTC 40, 00 DA/Heure/TTC 50%



? E-Learning:

La carte prépayée « cursus Microsoft Office Spécialist »sera commercialisée au prix de 3000,00 DA au lieu de 4500,00 DA, soit 33% de réduction


Redevances mensuelles

(Liaisons Spécialisées+Accès Internet)

De 0 à 20 Km De 20 Km à 50 Km

64 kbps 8000,00 DA 10 000,00 DA

128 kbps 15 000,00 DA 17 000,00 DA

256 kbps 23 000,00 DA 24 000,00 DA

512 kbps 40 000,00 DA 42 000,00 DA

1 Mbps 59 000,00 DA 72 000,00 DA

2 Mbps 113 000,00 DA 130 000,00 DA


? Service d’accès via liaisons spécialisées sur les POP’s :

Djaweb réduit de 30% les tarifs de ses accès par Liaisons Spécialisées sur les POP’s

Ça y est. Le cap des 100 millions de sites Internet dans le monde vient d’être franchi si l’on en croit le décompte effectué par le site Netcraft et publié le jeudi 2 novembre.

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    En Algérie, où même les statistiques ont émigré, on parle d’un millier de sites en « dotdz » qui sont gérés, comme chacun le sait, par le Cerist depuis le 15 juin 1999. On n’en sait pas plus même si le prix d’un « dotdz » est à 1 000 dinars où la gratuité ailleurs est de mise avec, bien sûr, la note algérienne : beaucoup de bureaucratie, de paperasse sans oublier le sacro-saint déplacement jusqu’au Cerist avec tous les tracas que cela peut poser. De plus, on ne peut pas s’enregistrer par Internet, ce qui est le comble des combles. Bref, passons.
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    Revenons à nos millions ! Au mois de novembre 2006, ce sont ainsi 101 435 253 sites qui ont répondu présents à l’appel, ce qui représente un dédoublement du nombre de sites par rapport aux 50 millions atteints en mai 2004 et contre 97 millions lors de son rapport d’octobre… Pour rappel, Internet ne comptait que 18 957 sites Web en août 1995, et le cap du premier million de sites fut franchi en avril 1997. Trois ans plus tard, en février 2000, le compteur atteignait les 10 millions. Que de chemin parcouru en si peu de temps. Mais alors comment on est passé d’un million en 1997 à 100 millions en 2006. Ce sont principalement l’explosion du nombre de blogs et de sites des PMI/PME de par le monde, qu’ils soient utilisés comme une vitrine ou pour faire du e-commerce, soutenue par les faibles prix actuels d’hébergement et d’acquisition de noms de domaine, conduisant à la création, cette année, de près de 27,4 millions de sites Internet supplémentaires. Et le phénomène n’est pas près de s’arrêter...
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    Source :algerie-info.dz
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