Le programme d’investissement d’Algérie Télécom vise à hisser l’entreprise au rang d’opérateur leader à l’échelle africaine.

Le tout nouveau P-dg du Groupe Algérie Télécom, M.Slimane Keirreddine a déclaré, avant-hier, que la privatisation de AT suscite l’intérêt de pas moins d’une quarantaine d’opérateurs étrangers activant dans le domaine de la télécommunication. Cet intérêt traduit, selon le P-DG de AT, la santé financière dont jouit présentement l’opérateur historique de la téléphonie fixe en Algérie. Et c’est là, vraisemblablement, le contenu du message que voulait transmettre le nouveau patron d’Algérie Télecom lors d’une soirée conviviale tenue en l’honneur de la presse nationale, mercredi dernier, à Alger.

C’est aussi une manière pour M.Slimane Keirreddine de mettre en évidence les ambitions contenues dans le programme d’investissement d’Algérie Télécom s’étalant jusqu’à l’année 2011 et visant à hisser l’entreprise au rang d’un opérateur leader à l’échelle africaine. Mais avant que ce programme d’investissement ne se concrétise effectivement sur le terrain, le fait même qu’une quarantaine d’entreprises étrangères se déclarent, d’ores et déjà, comme soumissionnaires à l’opération d’ouverture du capital d’Algérie Télécom cela démontre, à juste titre, que cette entreprise est l’une des plus solides dans le paysage économique algérien. En langage de chiffres, les recettes engrangées annuellement par Algérie Télécom placent cette entreprise, jouissant d’un capital social de 100 millions de dinars, à la seconde position juste après Sonatrach. Ceci d’une part, d’autre part et pour revenir à l’opération d’ouverture de capital d’Algérie Télécom, celle-ci « est en cours » de l’avis de M.Slimane Keirreddine et « c’est au gouvernement que revient la latitude de décider des mesures ayant trait à cette question », a-t-il argué. Au sujet de l’opération de l’emprunt obligataire lancé par Algérie Télécom, le nouveau P-DG affirme qu’une somme de 20 milliards de dinars est déjà dans les caisses de Mobilis. En plus des banques qui se sont engagées à assurer le montant, le grand public a également manifesté son intérêt. Il y a lieu de rappeler que cet emprunt est le deuxième du genre. En novembre dernier, l’entreprise a levé 6,5 milliards de dinars pour ses besoins en investissements. Revenant à la situation de l’entreprise, le P-DG se montre très optimiste et ambitionne de réaliser un chiffre d’affaires de 140 milliards de dinars d’ici la fin de l’année en cours. « Nous espérons enregistrer un chiffre d’affaires de 140 milliards de dinars, soit une augmentation de 15% par rapport à 2005 » a-t-il conclu.

Source :l’expression

A travers la formation des cadres, Microsoft Algérie ambitionne de séduire les entreprises et particulièrement le secteur des PME pour généraliser l’utilisation des logiciels du géant mondial des logiciels.

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    Le lancement de Microsoft Partener Academy a pris effet, rappelons-le, au mois de mars dernier. C’est, accompagné de responsables de Microsoft, entre autres MM.Houari Belbari et Cherif Seddik, respectivement directeur Algérie et directeur Moyen-Orient et Afrique du Nord que M.Haïchour a souligné toute l’importance du rôle de la Partner Academy, notamment son engagement à développer les compétences en matière de Ntic (nouvelles technologies de l’information et de la communication).
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    De tels cycles de formation ouvrent des horizons nouveaux. Ils soutiennent et participent activement au processus de mise à niveau des TIC pour lesquels l’Algérie nourrit de grandes ambitions, au moment où il s’arrime, plus que jamais, à la société de l’information, a indiqué le ministre, poursuivant, qu’une société de l’information ne se construit pas seulement à coup d’infrastructures, de textes législatifs et réglementaires mais s’appuie également et surtout sur une stratégie d’éducation, de formation et de recherche, évoquant au passage, l’appel de M.Bouteflika au 11e Sommet de la Francophonie, tenu récemment à Bucarest, invitant à soutenir la Décennie africaine de l’éducation afin de réduire la fracture numérique entre le Nord et le Sud.
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    Selon ses concepteurs, la Microsoft Academy s’appuie sur une stratégie gagnante et vise à renforcer le capital humain en tant que facteur clé de la problématique d’appropriation des TIC. Ce qui explique, a priori, l’engouement des entreprises algériennes pour les rares cycles de formation jusque-là dispensés. Microsoft Algérie a, en effet, enregistré pas moins de 800 demandes officielles de la part des entreprises algériennes. Avec ce premier programme de formation ainsi achevé, elle aura, tout de même, satisfait une bonne partie de cette demande avec un taux d’objectifs atteint estimé à 150%. Soit 30 sociétés algériennes dont l’Ecole nationale de la poste et des technologies de l’information qui deviennent partenaires de Microsoft.
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    Source :L’expression dz

Technologie - Après de multiples retards, l'USB sans fil basé sur l'Ultrawideband va enfin apparaître dans les produits grand public. Les fabricants les préparent pour ces prochains mois.

La fin d'année devrait voir l'avènement de l'USB sans fil à courte portée ou Wireless USB (WUSB). C'est du moins ce qu'espèrent les constructeurs de PC et de produits électroniques grand public, qui veulent reléguer au passé les câbles USB encore indispensables aujourd'hui pour relier des baladeurs ou des claviers.

Cette technologie, basée sur l'ultrawideband (UWB), a souffert de nombreux retards, freinant les développements industriels. Mais d'ici la fin de l'année, elle devrait apparaître dans les magasins, intégrée dans des PC, imprimantes, disques durs externes ou lecteurs MP3.

Deux implémentations en concurrence

L'UWB offre un débit théorique de 480 mégabits par seconde (en pointe) pour une portée d'environ 3 mètres. Un taux de transfert qui décline évidemment lorsqu'on s'éloigne, dans un rayon maximal de 10 mètres. Si la vitesse risque d'être un peu inférieure dans la réalité, elle restera au même niveau que l'USB 2.0, et bien plus rapide que les réseaux Wi-Fi actuels.

Les retards de commercialisation sont dus à une rivalité entre les deux camps - la WiMedia Alliance menée par Intel et l'UWB Forum mené par Freescale - qui cherchent à imposer comme standard leur propre implémentation de la technologie UWB.

L'UWB Forum a souffert de la défection de Belkin, qui avait attiré toute l'attention lors du salon de l'électronique grand public CES 2006 (Consumer Electronics Show) avec un hub USB sans fil.

L'UWB Forum reprend l'avantage

Le camp WiMedia, soutenu par Sony, Texas Instruments, Hewlett-Packard et Samsung, compte commercialiser des puces et appareils certifiés WUSB. Mais il a pris du retard pour livrer ses produits, notamment pour améliorer l'usage dans les entreprises, où les réseaux sans fil doivent cohabiter.

L'UWB Forum a cependant repris l'avantage à l'Intel Developer Forum de San Francisco, le mois dernier. Intel, Kodak et Alereon, fabricant de puces UWB, ont montré cette technologie en action.

Des photos peuvent, par exemple, être téléchargées immédiatement d'une simple pression sur un bouton de l'appareil photo. Lorsque le PC détecte l'appareil pour la première fois, il demande à l'utilisateur s'il doit s'y connecter. Inutile de refaire ensuite à chaque fois l'opération sauf si l'on change d'appareil. Le principe est le même pour un disque dur ou un smartphone par exemple, et pourrait être étendu à des téléviseurs haute définition, estime Eric Broockman, P-DG d'Alereon.

Usage facile et sécurité renforcée

Les lecteurs MP3 sont un autre marché prometteur pour cette technologie. Microsoft n'a pourtant pas attendu: son baladeur Zune intégrera une puce Wi-Fi 802.11g, permettant à deux utilisateurs de partager des chansons. Pourtant, le Wireless USB est bien plus rapide et moins gourmand en énergie, assure Eric Broockman.

La difficulté est de garantir une utilisation aisée de la technologie, estime Mark Fidler, ingénieur chez Hewlett-Packard et membre de la WiMedia Alliance. «L'objectif est de rendre l'USB sans fil facile à utiliser, tout en garantissant un bon niveau de sécurité». Pour répondre à ces exigences, il faudra peut-être renforcer la procédure d'authentification pour que seuls certains appareils puissent se connecter entre eux.


Le système de la carte magnétique de la sécurité sociale entrera en vigueur à partir du 2e trimestre de l'année 2007 au niveau de 5 wilayas pilotes, a indiqué jeudi le ministre du Travail et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh. Dans une déclaration à la presse en marge de la session plénière de l'Assemblée populaire nationale (APN), consacrée aux questions orales, M. Louh a précisé que le "coût de cette carte magnétique mise au point par une société française est de 16 millions d'euros", ajoutant que ce projet est "le premier de son genre sur le plan africain".

BenQ vient d'annoncer son nouvel APN ultra-compact, l'E720, qui vous propose un capteur de 7 Megapixels, un objectif Pentax avec un zoom optique de 3x, un écran de 2,5", la stabilisation d'image, une sensibilité allant jusqu'à 1200 ISO, 9Mo de mémoire interne, port mémoire SD, le tout dans 91,5x56x19,5mm pour 130g. Comptez un prix de 200€ pour une disponibilité en novembre.

Le géant du Net met la main sur un service potentiellement générateur d'audience et donc de publicité. Il récupère aussi les précieux accords de contenus que le site de vidéo en ligne a signés avec Universal, Warner, Sony BMG et CBS.
Pour l'occasion, Chad (Hurley) et Steve (Chen), les deux jeunes cofondateurs de YouTube, se sont mis en scène dans une vidéo amateur disponible sur leur propre site. Ils y annoncent fièrement la reprise par Google de la start-up qu'ils ont créée en février 2005. Montant de la transaction : 1,65 milliard de dollars.

En reprenant le site qui permet aux internautes de mettre en ligne leurs vidéos personnelles, le géant du Net signe là la plus grosse transaction de son histoire. Au regard du chiffre d'affaires de la toute jeune société, aujourd'hui estimé à moins de 100 millions de dollars en rythme annuel, la somme déboursée paraît colossale. Mais l'acquisition sera acquittée en actions. Google, qui pèse environ 130 milliards de dollars à la Bourse de New York, peut se permettre la dépense.

Diversifier les revenus. Avec YouTube et ses 67 salariés, Google veut se rattraper là où il a lui-même échoué. Son service Google Vidéo est numéro 7 aux États-Unis avec 7,5 millions de visiteurs uniques par mois contre 30 millions pour YouTube, lui-même à la troisième place du marché derrière Yahoo et MySpace (37 millions d'utilisateurs chacun), selon ComScore.

Google, avec un modèle économique reposant sur la publicité, ne peut faire l'impasse sur aucun service potentiellement générateur d'audience, dont la vidéo est le dernier avatar. C'est pourquoi le célèbre moteur ouvre si largement les cordons de la Bourse. Dans la même veine, Google n'avait pas hésité à garantir 900 millions de dollars sur trois ans pour assurer la régie publicitaire du site communautaire, MySpace, auprès de son propriétaire NewsCorp.

Mais le prix payé par Google est aussi à mettre en rapport avec les précieux accords que le moteur de recherche a trouvés dans la corbeille de la mariée. Après Warner Music, YouTube a signé en début de semaine des partenariats avec Universal Music, Sony BMG et CBS. Les trois maisons de disques et le réseau de TV américain mettront gratuitement à disposition des internautes des clips ou des programmes télé, en échange d'une partie du gâteau publicitaire. Alors que certains d'entre eux étaient hostiles à la start-up accusée de favoriser le viol des droits d'auteur, les éditeurs changent leur fusil d'épaule et veulent diversifier leurs sources de revenus.

Concentré sur la gratuité. " C'est le début d'un modèle se dirigeant en partie vers le gratuit, alors que la musique légale était jusque-là payante. On se rend compte que la publicité reste le modèle dominant sur le Web, et que les internautes ont toujours du mal à payer les contenus ", explique Mark Mulligan de Forrester Research. L'accord avec YouTube permettra à Google de se positionner comme une véritable plate-forme de distribution pour les éditeurs de contenus en tout genre, " avec peut-être à terme des films ", prédit l'analyste de Forrester. Si certains y voient une porte ouverte à la vente de vidéos, Google a montré jusque-là qu'il restait concentré sur la gratuité.

Reste que l'investissement de Google ne devrait payer qu'à long terme. Pour le moment, " la vidéo en ligne n'en est qu'à ses débuts et ne concerne que 10 % des internautes en Europe ", note Mark Mulligan. " En revanche, plus de 20 % des internautes entre 15 et 24 ans regardent des vidéos. La généralisation de ces services viendra de ce jeune public ". Selon eMarketer, la manne publicitaire issue de la vidéo en 2006 devrait atteindre 385 millions de dollars aux États-Unis (+ 71 % sur un an), sur un total de 16,7 milliards.

Exalead lance son moteur grand publicFaisant fi de la prépondérance de Google, le français Exalead a décidé de lancer la version grand public de son moteur de recherche, disponible en français sur exalead.fr ou en anglais sur exalead.com. " Notre objectif est d'avoir 3 % de part de marché d'ici quatre à cinq ans ", a expliqué son PDG, François Bourdoncle. Pour convaincre des internautes élevés à Google, Exalead a mixé le moteur de recherche pur et dur avec des services d'annuaires, destinés à élargir les champs d'investigation. La société vise cette année un chiffre d'affaires de 5 millions d'euros. Exalead doit servir de base au projet technologique européen Quaero, le moteur de recherche européen censé faire de l'ombre à Google.