L’électronique fait désormais partie intégrante de la technologie automobile. Le salon international de l’automobile d’Alger qui se tient depuis le 17 mars au palais des expositions de la Safex a permis aussi bien aux connaisseurs qu’aux profanes d’avoir une idée plus ou moins précise sur les dernières innovations des constructeurs automobiles.

Le view Bird  est l’une des  toutes dernières innovations de la marque Nissan. Il s’agit d’un système de navigation permettant au conducteur  de visualiser, sur un écran, un schéma lui donnant une idée précise sur le positionnement de son véhicule et sur les obstacles qui l’entourent. Grâce aux capteurs installés dans le véhicule, le conducteur peut avoir des données d’une grande précision lors des manœuvres de stationnement, par exemple. Audi, quant à elle, se distingue par son système Pre Sense, installé sur la nouvelle A8 et la A7 Sportback.

Lorsque le véhicule se trouve face à un risque de collision, le système Pre Sense prend une série de mesures de sécurité en même temps. Il s’agit de la fermeture des fenêtres, du verrouillage centralisé, de la fermeture du toit et du pré-enclenchement des airbags. Toutes ces actions se déroulent en quelques secondes. D’autres constructeurs automobiles ont, cette année, amélioré des équipements déjà existant. Des systèmes électroniques toujours plus élaborés sont régulièrement imaginé par les grandes marques automobiles avec pour but convaincre les acquéreurs potentiels que leurs véhicules sont les plus performants et les plus sûrs du marché.

Bon nombre d'entreprises télécoms et informatiques s'approvisionnent au Japon. Les catastrophes qui viennent de toucher ce pays font prévoir des pénuries et surtout des hausses des prix.

L'économie japonaise est au plus mal: ports et aéroports à l'arrêt ou détruits, usines fermées,... Les géants qui se fournissent donc au Japon vont connaître pas mal de soucis d'approvisionnement, c'est certain. 40% des composants électroniques sont fournis par le pays du soleil levant. Les grandes entreprises ont décidé de faire un point hier dans le but surtout de rassurer les consommateurs. Rassurer? Pas certain. Alcatel-Lucent, grande firme franco-américaine, ne dispose pas d'usine de production au Japon mais ses composants proviennent de ce pays (notamment les cartes mémoires). "Nous surveillons la situation de près et croyons qu'il y aura un impact sur notre industrie étant donné l'importance du désastre. A ce stade (...) nous sommes encore en train d'évaluer les conséquences et ne pouvons pas préciser cet impact", a déclaré un porte-parole du géant. Même refrain chez Ericsson qui juge que dans l'immédiat, ça devrait aller mais que dans le futur, les désastres qui ont frappé le Japon devraient avoir un impact sur sa chaîne d'approvisionnement.

Toshiba quant à lui a vu bon nombre de ses usines fermées par simple précaution. Quant à quand redémarrera la production, grand point d'interrogation.

Sony a "dans l'attente du retour de l'électricité" préféré stopper et réduire sa production sur huit sites. Panasonic, Fujifilm, Nikon et Canon ont aussi fermés pas mal de leurs usines dans les régions touchées, réduisant ainsi la production d'appareils photo numériques et d'objectifs.

« Des actions, visant à encourager les jeunes entrepreneurs souhaitant se développer dans le secteur des technologies, ont été décidées par le ministère de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication ».

Cette déclaration est celle du chef de cabinet du ministre en charge de ce secteur. Le chef de cabinet qui a fait cette déclaration, sans autres détails, lors du Cisco Expo a réitéré la volonté de l’administration qu’il représente de « mettre en œuvre tous les moyens nécessaires  au développement des nouvelles technologies en Algérie », à travers manifestement l’encouragement de l’investissement dans ce domaine.

L’orateur notera à ce propos que ces actions s’inscrivent dans le cadre du programme E-Algérie. Un programme qui a pour objectif de promouvoir les TIC à travers différentes actions ayant un impact direct sur la vie des algériens.

« On ne peut imaginer le développement d’un pays sans les TIC », assure l’invité de Cisco qui affirmera également que le ministère entend impliquer tous les acteurs du secteur des nouvelles technologies pour garantir le développement du pays.

La deuxième Cisco Expo se tient les 15 et 16 mars courant à l’hôtel Sheraton d’Alger. Cet événement, organisé par la représentation locale de la célèbre firme américaine, est principalement axé cette année sur le thème des Data Centers, un produit manifestement de plus en plus demandé.

Le programme de Cisco Expo prévoit une série de conférences et bien évidemment un espace d’exposition dédié aux entreprises ayant bénéficié des technologies Cisco. Une manière de montrer à la fois la qualité des produits Cisco et le poids des entreprises ayant tiré profit de son savoir-faire.

Les animateurs de la conférence, au nombre desquels était le chef de cabinet du ministre de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication, ont évoqué plusieurs questions liées au secteur des TIC. Les télécommunications, Internet mais aussi et surtout le programme E-Algérie ont été au centre des débats de la première journée de l’événement Cisco.

Même si les avis étaient partagés sur un certain nombre de points, les participants aux débats ont toutefois été unanimes pour dire que la concrétisation du programme E-Algérie devait se faire avec la contribution de tous les acteurs.

Voici une idée plutôt originale lancée par l'Association des fournisseurs d'accès et de services Internet en France et destinée aux jeunes internautes âgés entre 7 et 15 ans. Un quizz pour apprendre les bons réflexes à avoir sur le Net.

Comment bien se comporter sur Internet? L'Association des fournisseurs d'accès et de services Internet en France a décidé de s'impliquer davantage et de se consacrer aux jeunes internautes âgés entre 7 et 15 ans. Un petit quizz de 15 questions suivies de trois propositions dans un fond ludique. A la clé, un joli diplôme. Ce n'est pas compliqué d'apprendre à un enfant de surfer sur la Toile mais lui apprendre à ne prendre aucun risque et à éviter tous les pièges que le Net englobe, ça ce n'est pas gagné.

Existant depuis 2006 déjà, ce petit quizz a été revu et une toute nouvelle version vient tout juste d'être mise en ligne. On y trouve diverses questions: sur le téléchargement, sur la nature des informations échangées, sur les réseaux sociaux qui connaissent une évolution inouïe,... Que l'internaute réponde correctement ou non, il reçoit systématiquement des explications qui vont le faire réfléchir sur le comportement qu'il devra adopter s'il se retrouve face à la situation donnée.

Au final, un permis web lui est délivré s'il a répondu correctement à toutes les questions. Sympa, non?

Le mardi 22 mars est une date clé pour la fondation Mozilla puisque la version finale de son navigateur Firefox sera disponible à cette date.

Alors que Microsoft a lancé la version 9 d'Internet Explorer tout récemment et que Google a diffusé la dixième version de Chrome le 9 mars dernier, c'est au tour de Mozilla de lanver la version 4 de Firefox. A savoir que Firefox 4 est disponible en version Release Candidate depuis le 10 mars. Bref, l'actualité des navigateurs internet est bien chargée ces derniers temps.

La version finale du nouveau navigateur de Microsoft est désormais disponible en téléchargement sur le Web.

Et voilà ! Seize mois après le lancement de la première démonstration technique d’Internet Explorer 9, Microsoft vient de mettre en ligne la version finale de son nouveau navigateur. Qui débute, selon l’éditeur, sous les meilleurs auspices : la RC et la bêta ont, d’après Microsoft, été téléchargées respectivement quelque 40 millions de fois et 1,2 million de fois rien qu'en France. « En décembre 2010, nous avons recensé 780 000 téléchargements de la bêta d’IE 9 uniquement en France, alors qu’au même moment la fondation Mozilla recensait 800 000 téléchargements de Firefox 4 en tout », commente Stanislas Quastana, architecte infrastructure de Microsoft France.

Cette version définitive ne comporte pas de changements fondamentaux par rapport à la bêta et la release candidate, que nous vous présentions il y a quelques semaines. Le principal changement amené concerne les jumplists personnalisées sur des sites partenaires de Microsoft. Autrement dit, lorsqu’on épingle un site dans la barre des tâches, il est possible, avec un clic droit, d’accéder à ses différentes rubriques et services. Plus d’un millier de sites dans le monde sont compatibles d’emblée avec cette fonction de jumplist personnalisée, dont plusieurs en France tels que lequipe.fr, lefigaro.fr ou encore Deezer et CDiscount.

Arrivée sur un terrain miné

D’autre part, Microsoft nous a indiqué que des progrès avaient été réalisés depuis la release candidate afin d’améliorer le support de l’ensemble des puces vidéo d’Intel, de Nvidia et d’AMD. Une mesure importante, tant l’accélération matérielle – l’utilisation des ressources graphiques pour doper les performances – est en effet un des chevaux de bataille de Microsoft dans la guerre des technologies qu’il livre à ses désormais nombreux concurrents.

IE 9 est en effet lâché aujourd’hui sur un terrain sacrément miné. Toujours leader, mais en déclin, Internet Explorer 9 va devoir faire face à une concurrence féroce, aussi bien du côté de Mozilla que de Google. Un Firefox 4 survitaminé sera lancé dans quelques jours et Chrome 10, qui grappille essentiellement des parts de marché à IE, a fait la Une la semaine dernière. Avec IE 9, Microsoft a fait le pari de recoller à la concurrence. Pari tenu : son navigateur est rapide et respectueux des standards du Web. Reste à savoir s’il va parvenir à séduire les internautes qui l’ont abandonné pour aller voir ailleurs…

Google ayant mis la main à la pâte en créant un service venant en aide au peuple japonais qui vit une période très difficile actuellement, Microsoft a décidé à son tour d'agir mais, force est de constater, que c'est un tollé qu'a finalement provoqué le géant.

Tout comme de nombreuses autres sociétés, Microsoft a pris l'initiative de venir en aide au Japon en s'essayant à une campagne Twitter. En effet, sur le compte Twitter du géant, la firme a publié un lien vers une page web, une page décrivant sa politique de crise pour le Japon. Pour pousser à transmettre l'info, l'éditeur avait décidé de reverser 1 dollar aux victimes pour chaque retweet de ce message.

Six heures plus tard, sur son fil Twitter, Microsoft présente finalement des excuses ! Et oui, inutile de vous dire que cette action de Microsoft a attiré finalement pas mal de critiques, des critiques accusant le géant de profiter de la détresse du peuple japonais pour promouvoir ses solutions et son image. Pour se racheter, ce sont 100 000 dollars qui ont été directement reversés aux victimes. Cela partait pourtant d'une bonne intention !

C'est au cours d'une somptueuse cérémonie organisée le 10 mars dernier au sein de l'hôtel Sheraton d'Alger que LG Algérie a récompensé la fameuse équipe gagnante du concours LG Global Challenger.

Les membres du jury n’avaient fait qu’une recommandation aux trois équipes d’étudiants ayant rejoint l’Europe afin de venir à bout de leurs projets, celle de représenter dignement l’Algérie. C'est chose faite.

Rappelons avant toute chose que LG avait lancé exclusivement en faveur des étudiants universitaires algériens le concours LG Global Challenger, un concours qui a permis à trois équipes d’étudiants de vivre une expérience qu’ils ne sont pas prêts d’oublier. Trois projets avaient donc été retenus au mois de novembre : « Intégration des réfugiés dans la société algérienne » ; « Architecture et développement urbain dans le sud algérien » ; et « la télémédecine et son impact sur la qualité et le coût liés à la santé ». Les trois groupes ont effectué comme prévu leurs stages à l’étranger (Hongrie, France et Finlande) et, dès leur retour, ils ont remis au jury leurs rapports complets. Après concertation, c’est l’équipe ayant traité de la télémédecine qui a remporté le grand prix et qui est reparti avec un beau chèque d’un million de dinars et une promesse de recrutement au sein de la firme sud-coréenne.

Il faut dire que le concours en lui-même a suscité l’engouement de près de 20 000 étudiants algériens. 300 demandes officielles ont été recensées et ce sont 132 étudiants constituant 33 groupes qui ont présenté des sujets estimés par le jury porteurs de spécificité. Finalement, ce sont trois équipes qui ont été désignées pour représenter l’Algérie en Europe. LG a alloué un budget dépassant selon M. Ahn Deuk Soo, PDG de LG Algérie, les 100 000 dollars pour mener à bien cette opération, une opération qui sera maintenue l’an prochain.