
« Ce qui est demandé et exigé est que les propriétaires d’OTA se rapprochent des autorités algériennes, en premier lieu, pour appliquer les droits de préemption et les dispositions du cahier des charges qui prévoient que tout changement de propriétaire en matière de licence doit se faire avec l’autorisation de l’autorité de l’ARPT et des pouvoirs publics », a indiqué à l’APS Bessalah. Il a appelé OTA à s’expliquer, précisant toutefois que le souci des autorités algériennes est de « préserver le fonctionnement de cette entreprise quelle que soit la solution qui sera retenue ».
Source: El Watan