Durant mes conférences et mes séances de coaching, notamment avec des jeunes porteurs de projets, un point pose un profond malaise : lorsque j’affirme que c’est le marché qui décide du succès d’un produit et que si le marché te fait comprendre que ton produit n’est pas le bienvenu, il serait bon que tu changes d’activité. Ceci est souvent très mal pris, notamment par les jeunes qui pensent que l’on peut forcer le passage, changer les mentalités et imposer un produit contre le cours des choses.